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Les Carnets d'Emilie
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Le dressage d'une oie blanche.
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13 juin 2007

Chap. 12 - La nuit de Kristale.

Dehors il fait nuit. Le froid vif me transperce. Nous regagnons rapidement l'intérieur de la maison. Kristale nous attend. Elle m'accueille avec le sourire. Comme si rien ne s'était passé cet après-midi ! Elle prend la chaîne de Ses mains et me conduit dans la salle d'eau. Elle m'enlève délicatement la laisse de fer qu'elle dépose sur une tablette, se dirige vers la cabine de douche et fait couler l'eau.
- Rafraîchis toi et viens nous rejoindre au séjour…  Fais vite nous passons à table.
Sa voix est apaisante, sans émotion. Elle sort en me laissant seule. J'enlève mon collier et les bracelets que je pose à côté de la chaîne. Je pénètre sous le jet fumant. Comme l'eau chaude coulant sur mon corps est agréable ! Je frotte avec frénésie pour enlever toutes ces traces invisibles qu'ont laissées les deux hommes sur ma peau. Leurs souillures et leurs souvenirs humiliant glissent sur moi, s'écoulent et rejoignent les égouts.
Une fois séchée je remets le collier et les bracelets de cuir et ose me regarder dans la glace. Je me reconnais à peine. C'est une jeune femme que j'ai en face de moi ce n'est plus tout à fait l'adolescente qui est arrivée la semaine dernière. Derrière ses traits juvéniles une nouvelle détermination transparaît. Je me redresse, je me souris. Mes cheveux mouillés paraissent noirs et ont perdu leurs beaux reflets roux. Pas le temps de les sécher. Je regarde autour de moi, mes vêtements ne sont pas là. J'hésite un moment puis décide de remettre la longue laisse. Je sors nue et enchaînée rejoindre le séjour.
Lorsque je me présente, ils sont déjà à table. Comme je l'avais remarqué en passant devant le séjour pour gagner la salle d'eau il n'y a que deux couverts. Je m'approche et prends la position de soumission. Il me désigne le sol d'un doigt impératif près de la table entre eux deux.
- A genoux !
La chaîne cliquette en s'empilant sur le parquet ciré. J'écarte largement les jambes et me cambre en mettant les mains dans le dos les anneaux de métal froid frôlent et caressent mon ventre. L'odeur du buffet réveille mon appétit, je me rends compte que je n'ai rien mangé ni bu depuis ce matin. Mon ventre se manifeste en grondant bruyamment. Je crispe les abdominaux pour en étouffer le son. Kristale s'en amuse et avec son étrange accent elle s'adresse à Lui en me désignant nonchalamment.
- Je crois que ta petite chienne à faim.
Il sourit et opine du chef. Il se penche vers moi et offre à ma bouche un des petits fours qu'ils sont en train de déguster. Pendant tout le repas et à tour de rôle ils vont se pencher vers moi, me présentant les mets et boissons les plus divers du bout de leurs doigts tout en continuant leur conversation à bâtons rompus. Le repas terminé Kristale nous invite à rejoindre le salon à la banquette de velours rouge et s'éclipse.
Il me donne un dernier verre de vin, le quatrième, je ne bois que dans les grandes occasions et avec méfiance, mais je ne peux refuser.La tête me tourne un peu. Il essuie la commissure de mes lèvres avec une serviette blanche. Et prenant ma chaîne me traîne à quatre pattes vers le boudoir.
Il n'a pas fallu longtemps à Kristale pour se changer. Elle est revêtue d'un magnifique peignoir de soie bleu nuit qui font paraître blanc ses cheveux blonds. Elle porte un collier magnifique que je reconnais comme une de Ses créations. Je m'étonne. Il est de cuir, d'acier et d'argent ouvragé. Plus fin que le mien. Un anneau pend à son milieu. Cet anneau me laisse perplexe. Serait-elle aussi une soumise ? Rien dans son attitude ne peut le laisser deviner.
A son tour mon Maître nous quitte. Kristale en profite pour se servir un verre de brandy au bar proche et vient s'affaler sur le divan écartant dans le même mouvement sa nuisette. Elle est totalement nue. Très belle, une femme dans sa plénitude, sûre de son charme. Un limpide cristal bleu-vert, une aigue-marine je crois, orne son nombril et son ventre est impeccablement épilé. Elle balance mollement le large verre de cognac entre ses doigts. Impudique elle écarte largement les jambes dévoilant un sexe joliment fendu, un abricot lisse orné d'une fente entrouverte ourlée de dentelle rose qui brille d'humidité.
- Approche ! Dit-elle, en tapotant le sofa devant son ventre.
Je suis encore à quatre pattes et je n'ai qu'un mètre à parcourir pour me retrouver face à elle.
- Embrasse-moi !
Je fais mine de me relever et suis brusquement arrêtée par le ton de sa voix.
- Mais non petite gourde, … Embrasse-moi là !
Et elle glisse un doigt sur sa fente rosée. Une vague froide me parcourt le dos. Kristale à vraiment le goût de m'humilier. Je me baisse lentement et approche mon visage de son ventre. Il en exhale un parfum épicé capiteux, une petite perle de liquide laiteux coule de la commissure purpurine. Je ferme les yeux et pose mes lèvres sur la fente humide. J'y dépose un timide baiser puis un deuxième, un troisième. Kristale s'impatiente.
- Ta langue petite garce…Lèche donc comme la chienne que tu es !
Je tressaille sous l'insulte, mais je sais maintenant que c'est son habitude, sa façon de m'éprouver.
Je prends une profonde aspiration pour me donner du courage et sort ma langue pour écarter et fouiller le sexe odorant. D'une main elle accentue ma caresse et plaque mon visage entre ses jambes en s'écartant un peu plus encore. Je m'enfonce un peu plus. Ma langue s'agite maladroitement à l'intérieur de l'orifice au goût saumâtre et acidulé. Je l'embrasse comme on embrasserait un garçon en espérant bien faire. Bientôt un mélange de ma salive et de liqueur de Cyprine me barbouille les lèvres et coule sous mon menton. Kristale me caresse les cheveux pendant que je m'active de mon mieux. C'est dans cette position qu'il me trouve en entrant. Il rit.
- Eh bien tu ne perds pas de temps Kristale !
- Ta petite chienne était impatiente. Rétorque-t-elle.
La bouche occupée je ne peux protester. Je suis mortifiée. J'imagine le spectacle que j'offre à mon Maître, à quatre pattes la tête entre les jambes d'une autre femme.
Le cliquetis des verres dans le bar me signale qu'il se sert lui aussi un verre et il s'assoit à la droite de Kristale.
- Continuez, je ne veux pas vous déranger. Dit-il, d'un ton ironique.
Je dois être rouge comme une pivoine, je sens mes joues en feu. Et pour me perdre, je redouble d'ardeur. Pendant de longues minutes Kristale me guide tout en commentant et en louant à haute voix, pour Ses oreilles et pour parfaire mon humiliation, les progrès de ma langue dans son intimité.
- Allons petite c'est bien, il faut s'occuper de ton Maître aussi !
En disant çà elle me repousse, interrompant mes caresses. La mâchoire me fait mal. La salive mêlée de liqueur mielleuse coule de mes lèvres le long de mon cou, je l'essuie d'une main, comme je peux. Je me tourne vers lui. Aveuglée entre les cuisses de Kristale, je ne l'avais pas vu. Lui aussi il s'est changé et il porte un peignoir de coton blanc. Kristale, en un mouvement fluide, pose son verre sur un guéridon proche, se débarrasse de son peignoir et se laisse glisser au sol à côté de moi. Nous sommes maintenant toutes les deux nues à Ses genoux. Elle me sourit et écarte le peignoir de l'homme. Il est nu en dessous et son membre s'érige fièrement en face de nous. De pudeur je détourne le regard. Ce qui amuse Kristale.
- Allons ne fait pas ta prude. Je sais que tu as déjà goûté !
Elle m'invite à m'approcher en me prenant par la nuque et saisissant le sexe à pleine main le tend vers mon visage. Inutile de résister. Mes lèvres s'arrondissent et englobe le gland turgescent. Elle appuie sur ma tête et m'oblige à avaler une longue part du membre de chair. Son étreinte se relâche. Prenant confiance je commence seule un profond va-et-vient.
- Eh bien Voilà ! … Il suffit de la chauffer un peu cette petite chienne !
Ses mains glissent sur mes fesses et viennent explorer mon entrejambe pendant que j'accélère la cadence. Ses doigts caressent mon clitoris qui durcit immédiatement, mon ventre s'enflamme. Kristale me laisse faire quelques instants puis elle me repousse, m'enlevant le gland de la bouche.
- On dirait que tu y prends goût, … Laisses-en donc pour les copines !
Et sans hésiter embouche le sexe tendu tout en me regardant par en dessous. Sa dextérité est évidente. Il disparaît entièrement dans sa bouche et en ressort luisant de salive, sa langue s'active et butine rapidement la totalité de la colonne de chair s'attardant sur le gland lisse pour l'engloutir de nouveau. Elle ne me quitte pas des yeux. Je suis troublée de voir ainsi l'objet de mes tourments caressé par Kristale. Une pointe de jalousie. Je Le regarde dépitée alors qu'elle continue sa sarabande experte. Il semble ravi de sa prestation. Je me sens stupide et gauche. Je sais que je ne me suis pas montrée aussi habile. Un embarras rétroactif me saisit à la pensée des caresses de novice malhabile que je Lui ai prodiguées. Elle est en train de me donner une leçon et je la déteste pour ça ! Elle finit par le lâcher et le tend vers moi en souriant et s'essuyant les lèvres d'un revers de la main comme après avoir bu à une source. Je reprends ma caresse interrompue et cette fois je m'applique. Je vais lui montrer ce que je peux faire ! Mon enthousiasme est de courte durée. Ses doigts reprennent leur exploration de mon entrejambe et finissent par s'attarder sur mon anus tentant de s'y introduire. Sous l'effet de la surprise je me cabre interrompant une nouvelle fois la fellation. Penaude, je regarde Mon Maître et Kristale à tour de rôle.
Kristale éclate de rire.
- Ah oui… Ton Maître m'a dit que ton cul était vierge !
Je baisse la tête, encore une fois je ne peux m'empêcher de rougir violemment.
Kristale s'adresse directement à Lui.
- Il serait peut être temps de dépuceler ça, … Cher Maître !
Et elle rit de plus belle.
Je ne peux m'empêcher de protester mollement.
- Oh non ! … S'il vous plaît .
Ma voix s'étrangle, Je lance vers lui des regards désespérés. Sans attendre de réponse Kristale se dirige vers un buffet bas et en sort un mousqueton de métal. Elle me saisit les mains, me les ramènent dans le dos et attache entre eux les bracelets de mes poignets. Dans un même mouvement, elle prend la chaîne qui pend à mon cou la tire brutalement vers l'arrière, l'attache elle aussi au mousqueton de mon dos. La tension du collier sur mon cou m'étrangle. Me voici immobilisée. Elle me tire vers elle et replace ma tête entre ses jambes forçant ainsi la cambrure de mes reins. Son parfum entêtant m'envahit de nouveau.
Il nous observe un moment. Prend le temps de siroter un peu de Cognac. Enfin, lentement il pose le verre se lève et vient se placer derrière moi. Encore une fois mes pensées se troublent, je me dédouble. Passive et rebelle à la fois.
Kristale enfonce le clou.
- Ecarte les jambes, …çà va bien se passer.
J'enfouis un peu plus ma tête dans ses cuisses et lui obéit.
Des doigts interrogateurs écartent les lèvres de ma vulve et s'enfoncent en moi. Inutile d'attendre plus longtemps ! Je suis inondée. Il se présente aux portes de mon ventre et me pénètre d'un seul coup, sans ménagement, au plus profond. Cela m'arrache un petit cri de surprise. Quelques va-et-vient. Puis il s'arrête. Ses mains viennent explorer le tour de mon anus, le frôlement de ses doigts sur ma rosette me fait frissonner et pourtant je gémis une protestation. J'ai peur. Kristale resserre son emprise sur la chaîne pour parer à une tentative de fuite. Un doigt, le pouce je crois, force le passage et s'enfonce. Je me mords les lèvres pour ne pas crier ma révolte. Le deuxième pouce rejoint le premier et écarte l'étroit orifice. Ma respiration s'accélère. Je n'ai pas mal mais me sens impudiquement ouverte. Une honte sans nom me submerge. Un liquide chaud tombe entre mes fesses, … De la salive ! De ses pouces il enduit le passage du liquide lubrifiant en le massant longuement. La caresse devient plus douce, moins rêche. Je me détends un peu. Il se retire de mon ventre et pose résolument son gland de marbre sur mon anus. Je tente un dernier gémissement de protestation. Mais rien n'y fera. Il pose une main sur le haut de mes fesses et de l'autre accompagne sa verge qu'il appuie de tout son poids, forçant lentement, mais inexorablement, l'étroit passage. Mon gémissement se prolonge par un cri étouffé. Cette fois il me fait mal. Je me sens distendue à la limite du déchirement. Il me laisse un moment pour que je m'habitue à sa présence et que la douleur passe. Kristale me caresse la nuque pour me calmer. Je sens son gland enserré intimement palpiter en moi et mon cœur battre à mes tempes. Une fois engagé, il lâche la hampe de sa verge et me saisit par les hanches à deux mains. D'un léger coup de rein il progresse un peu plus. La douleur se réveille, je relève la tête et étouffe un cri. Un deuxième coup de bélier plus violent et je crie. Il me défonce littéralement. J'ai l'impression qu'un pieu monstrueux m'empale. Je ne suis plus que souffrance. Mes protestations ne l'arrêtent pas. Il veut en finir. Il tire sur mes hanches et s'enfonce profondément. Mes cris se transforment en hurlement suivi d'une longue plainte entrecoupée de sanglots. Il a fini par s'enfoncer jusqu'à la garde dans mes entrailles. Je sens son ventre contre mes fesses. Je suis forcée, déchirée. Une envie d'expulser l'intrus que je refrène en n'osant bouger et en contractant mon ventre. Un plaisir trouble monte en moi et remplace peu à peu la douleur. Parvenu à ses fins il ne bouge plus et reste enfouit au plus profond de mes reins. Kristale en profite pour relever ma tête se pencher sur moi et lécher mes larmes avant de m'embrasser fougueusement. Elle finit par me glisser discrètement à l'oreille de façon à n'être entendu que de moi.
- Tu aimes petite garce ? … Tu aimes te faire défoncer ?
Toujours ce langage ordurier qui m'insupporte. Je secoue la tête et souffle bruyamment ma désapprobation. Ça la fait rire.
C'est le signal qu'il attend pour se dégager doucement. Je serre les poings, son retrait est aussi mortifiant que sa pénétration. Alors qu'il est au bord de se retirer, il affirme sa prise sur mes hanches et d'un coup violent force de nouveau mes reins. La surprise est totale, la douleur aussi. Je me cambre et hurle. Un deuxième coup de bélier puis un troisième me perforent. Le rythme s'accélère. J'ai l'impression qu'on me fend en deux et pourtant la jouissance monte du plus profond de moi, indescriptible. Je suis submergée par un flot de plaisir et de douleur mêlée. Je ne cris plus ma douleur, mais ma jouissance Mon corps est tendu comme un arc. Une boule de feu électrique crépite sur mes reins court le long de mon dos et éclate dans ma tête, tétanisant mon corps et ma pensée. Tout se brouille, un voile brillant intense passe devant mes yeux, je plonge dans un trou de lumière sans fond, mon esprit s'envole, … Je perds connaissance….
Je reviens à moi entre les mains de Kristale. Elle me sourit presque maternellement.
- Eh bien dis donc ! ... Et bien dis donc !
Elle me caresse les cheveux et semble interloquée.
- Tu nous as presque fait peur !
Je me sens molle, vidée de toute mon énergie. Un ravissement ineffable me fait flotter en dehors de mon corps. Hébétée, je regarde autour de moi. Il n'est plus là, j'entends des bruits dans la salle d'eau.
- Il est parti se rafraîchir, … Tu iras après lui.
Sa voix est devenue extrêmement douce, le changement de ton est des plus frappant. Elle se penche sur moi et entreprend de me détacher, d'ôter ma chaîne. Je fais jouer mes bras endoloris et me lève péniblement. D'une démarche mal assurée je me dirige vers la salle d'eau. Je le croise à sa sortie. Il m'arrête, sans un dire un mot il me prend le menton dans sa main et pose un délicat baiser sur mes lèvres. Je veux répondre mais ma langue rencontre le vide. Il m'a déjà lâché et s'éloigne, montant les escaliers qui gagnent l'étage. Kristale le suit et sans se retourner me lance.
- Rejoins-nous quand tu auras fini !
Une nouvelle douche, fraîche cette fois ci, achève de me réveiller totalement. Sous le jet d'eau salvateur je comprends ce qu'il vient de m'arriver. Une joie débordante gonfle ma poitrine et je ris nerveusement. Enivrée, je prolonge la douche de longues minutes. Il faut bien ça pour refroidir le feu intérieur qui me consume. Je me sèche lentement et je m'aperçois avec étonnement que j'ai oublié de retirer mon collier et mes bracelets de cuir. Cela redouble mes rires, … Ils font vraiment partie de moi ce soir, ces témoins de contrainte. Je jette nonchalamment la serviette éponge sur le sol dans un coin de la salle d'eau et m'engage d'un pas désinvolte sur l'imposant escalier de chêne qui monte à l'étage, …

 

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Commentaires
J
Il me semble que le choix de "prologue" est assez clair : La vraie histoire -celle qui dure - commence une fois l'initiation faite.<br /> <br /> Cela, j'en suis persuadé, sera fort clair le moment venu.<br /> <br /> Continue ta voie sans dévier, Isabelle, elle est droite.
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I
Comme c'est joliment dit ! çà me fait rougir. Pourquoi pas,... Je suis curieuse !!!<br /> Mais je crains le pire ,...
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I
bonjour belle émilie on s'entendrait bien et ton cul ne serais plus vierge tu veux ma photo et si tu veux ok
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K
patient, la patience est une vertu. Même si elle est moins à la mode qu'il y a vingt ou trente ans.
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I
Patience ! Patience ! KeyserSoese.<br /> Ce blog a encore une très longue vie devant lui. Grace à ce préambule justement...
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