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Les Carnets d'Emilie
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Le dressage d'une oie blanche.
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31 octobre 2010

Chap.7. Un outrageux baiser.

La jeune fille tente de se redresser, croyant l’assaut fini. Mais d’une main posée sur sa poitrine le garçon brun la maintient couchée alors qu’il s’adresse à son copain en riant. Il ne faut pas beaucoup d’imagination pour deviner ce qu’il lui dit. Sans se le faire dire deux fois, son ami s’installe à son tour entre les cuisses de la lycéenne. Je comprends qu’une nouvelle fois elle va devoir accepter l’assaut des deux garçons. Un petit cri, elle tente de se redresser. En vain. Sa tête s’agite en tous sens et je peux percevoir, sans la comprendre, sa voix suppliante s’adressant à son premier amant, celui, qui semble être son fiancé. Pour toute réponse il lui sourit et tente de la calmer. Sa supplique doit être de pure forme, simplement pour montrer sa désapprobation car elle se calme bientôt et semble accepter ce que son étrange bien-aimé lui demande, a savoir accorder l’hospitalité de son ventre à son copain.
Et il ne se prive pas d’en profiter ! La pénétration est rapide. Se trémoussant comme un beau diable, ses fesses laiteuses se contractent en rythme et assènent un chapelet de coups de rein frénétiques à la jeune fille écartelée. La tête rejetée en arrière, elle ne bouge pas, comme assommée par l’assaut.
Cela va durer longtemps.
Parfois son assaillant s’interrompt penchant sa tête sur la poitrine offerte, lui embouchant avec gloutonnerie la pointe des seins. L’adolescente a tourné la tête sur le côté cachant son visage sous ses cheveux et portant un poing fermé à sa bouche qu’elle mord nerveusement.
Elle n’a pas l’air d’apprécier du tout, mais semble maintenant résignée à subir les assauts de l’homme jusqu’au bout, sans plus se débattre. Et comme lors de ma première observation la fin inéluctable me semble un peu chaotique. Le garçon s’arc-boute sur les hanches de l’adolescente et d’un ultime coup de rein s’enfonce en elle une dernière fois lâchant vers le ciel un cri de jouissance intense que je perçois jusqu'à ma cachette.
Apparemment il a pris son plaisir et d’une manière des plus bruyante. Son copain qui tient fermement la jeune fille blonde par les épaules, rigole et lance un commentaire que je ne comprends pas. Ce qui m’agace au plus au point. Décidément, il va falloir que je me rapproche, pour satisfaire ma curiosité !
L’assaillant reste un instant allongé sur le corps nu écartelé de l’étudiante et après avoir repris son souffle se redresse lentement, se dégage des cuisses de sa victime et se laisse rouler sur le coté, le visage extatique barré d’un sourire ravi. Content de l’aubaine que lui offre son copain !
Ils discutent un instant entre eux. Certainement pour échanger leurs impressions. La jeune fille reste allongée, muette et referme lentement ses cuisses me cachant la jolie fleur nacrée ourlée de fils d’or qu’ils viennent de forcer à tour de rôle.
Mon ventre émet de drôle de crépitement. Je ne sens plus l’ankylose de mes jambes repliées sous moi. Je m’aperçois que l’excitation m’a fait mordre la lèvre jusqu’au sang.
La conversation entre les deux garçons cesse. Le plus âgé se relève entraînant avec lui l’adolescente. Elle a l’air sonnée et titube un peu. Il l’enlace, lui murmurant certainement quelques consolations à l’oreille. Elle passe alors ses bras autour de son cou et pose son visage sur sa poitrine. La verge du garçon est restée tendu et elle s’appuie, impudique et conquérante, contre le flanc de la jeune fille. Ils restent ainsi un long moment enlacés, debout, au milieu de la grange.
Il me semble qu’il lui murmure quelque chose à l’oreille. Les épaules de la fille s’affaissent et elle a un petit signe négatif de la tête qui secoue ses cheveux. Le garçon s’agenouille alors sur le sol entraînant l’adolescente dans son mouvement. A peine est-elle à genoux face à lui qu’il se redresse vivement, présentant son sexe dressé face à son visage. Par pudeur elle détourne la tète, mais reste à genoux. Il interpelle son copain blond qui vient se placer derrière l’adolescente. Il lui donne des instructions à voix basses et inaudible pour moi. Mais il semble avoir parfaitement compris ce qu’il doit faire. Il se saisit des poignets de la jeune fille qui a un mouvement de fuite et lui ramène violemment dans le dos. Surprise, elle tente de se redresser et d’échapper à son étreinte. Mais il est beaucoup trop fort et son ami lui vient en aide en saisissant la jeune fille par les cheveux et lui tirant vers l’arrière l’obligeant ainsi à rester à genoux la tête relevée. Dans un même mouvement rapide il lui écarte les genoux et donc les cuisses avec son pied l’empêchant ainsi de basculer à droite ou à gauche seule possibilité pour elle de se soustraire à leur étreinte. Elle proteste vigoureusement et je peux entendre ses cris de désarroi, et la voix de son amant qui tente de la calmer, de la rassurer, de la flatter même! A peine a-t-elle renoncée à se débattre que le garçon lui plaque le gland de son sexe sur les lèvres.
Je reste étonnée, les yeux écarquillés. Ainsi, ils n’ont pas renoncé à leur étrange proposition ! Se servir de la bouche de l’étudiante comme ils l’ont fait de son sexe. Dans mon for intérieur je me dis que cela est impossible tellement cela me semble odieux et contre nature. Et puis si son ventre l’a péniblement accueillis, je doute des capacités de sa bouche à en faire autant !
Cela semble aussi être l’avis de la lycéenne car elle détourne vivement la tête. Mouvement de refus qui ne suffit pas à décourager son tourmenteur. Plusieurs fois il va l’obliger à redresser la tête, plusieurs fois il va lui présenter sa verge devant la bouche tentant d’entrouvrir et de forcer ses lèvres. Sa vigueur et son empressement me font comprendre qu’il ne renoncera pas.
Les défenses de la jeune fille faiblissent peu à peu. Elle tente bien plusieurs fois de se redresser d’un coup de rein. Mais cela lui est impossible. Elle est trop bien maintenue par la poigne vigoureuse des deux jeune gens. Est ce la lassitude devant une vaine résistance ou bien le discours rassurant et encourageant que lui prodige le jeune impatient ? Toujours est-il qu’elle finit par ne plus se débattre et entrouvre même les lèvres laissant le passage au bélier de son assiégeant.
Je suis stupéfaite ! Comment peut-elle accepter un outrage aussi dégradant ? Je crois que moi j’aurais lutté jusqu'à la mort plutôt que de consentir à une caresse aussi avilissante. J'ai une moue de dégoût et pourtant reste captivée par l’acte odieux qui se déroule sous mes yeux, à quelques mètres de moi.
Le garçon, maintenant sûr de sa victoire, investit brutalement la place. A peine a-t-elle entrouvert la bouche qu’il s’y enfonce rapidement. Surprise la lycéenne à un spasme de tout son corps et tente désespérément une dernière fois de repousser le pieu de chair qui force ainsi ses lèvres. Mais trop tard, la brèche est ouverte, Le garçon s’y est engouffré et rien ne le fera renoncer. Il affermit sa victoire en se saisissant de la tête de l’étudiante pour la calmer et lui caresse doucement les cheveux tandis que la bouche distendue de l’adolescente avale encore un morceau de sa verge que je vois peu à peu disparaître entre ses lèvres. Des larmes perles et roulent sur ses joues écarlates.
L’acolyte constatant que son copain a réussi là, où hier, il avait échoué ne peut s’empêcher de l’interpeller à voix forte que je peux percevoir à la limite de mon audition.
- …Alors ?… C’est bon ?…Elle suce bien ?
Je n’entends pas la réponse du chanceux mais il me semble qu’a son sourire radieux, cela lui procure effectivement un bien-être inégalé. D’ailleurs il entame pour se conforter un petit va et vient entre les lèvres de la lycéenne qui supporte maintenant stoïquement, la bouche grande ouverte, l’immoral assaut. Plus il s’agite ; plus le piston s’enfonce dans la bouche de la jeune fille jusqu’au point ou il me semble qu’il va finir par y entrer entièrement. Le visage de l’adolescente est devenu cramoisi, sa poitrine se soulève irrégulièrement, contrainte qu’elle est de respirer par le nez. A chaques coups de boutoir, elle a un haut de cœur nauséeux. Je me dis qu’elle doit certainement étouffer. Mais cela n’a pas l’air d’inquiéter son assaillant qui la saisi par les oreilles pour la forcer, un court instant, à engloutir sa verge jusqu'à la garde.
Je reste stupéfaite ! Cela dément ce que je pensais ! Ainsi il est possible a l’homme d’introduire la totalité de son sexe dans la bouche offerte. Je n’aurais jamais cru cela concevable ! Je ne peux m’empêcher de porter mes doigts à la bouche. Oh ! Bien sur, cela semble difficile, et les hauts de cœur de la jeune fille indiquent bien que l’entreprise n’est pas aisée et est très pénible pour elle.
Mais cela est possible ! Je pousse les doigts au fond de ma bouche et touche par inadvertance la luette qui barre l’accès de ma gorge. Je retire précipitamment les trois doigts de ma bouche, luttant contre une brusque envie de vomir. Je viens de comprendre à quel calvaire est soumise la jeune étudiante !
La contrainte qu’elle endure n’inquiète pas le moins du monde le jeune homme qui force plusieurs fois de suite la jeune fille à l’emboucher jusqu'à la garde. Et a chaque fois elle a une grimace de souffrance, fronçant les sourcils de détresse, soulevant ses fesses de ses talons comme si elle cherchait sa respiration. Le rythme s’accélère, à tel point qu’elle se débat de nouveau comme devant une nouvelle menace. Le copain qui lui maintient les mains dans le dos lui pèse sur les reins pour qu’elle se calme mais rien n’y fait. Pourtant inexorablement, sans se soucier du désarroi de la jeune fille, le piston de chair luisant de salive glisse avec une rapidité accrue entre ses lèvres.
Soudain, le jeune homme se cambre et se tétanise enfonçant une dernière fois et en totalité sa verge dans la bouche martyrisée, ses deux mains crispées dans ses cheveux. Malgré son bâillon de chair je peux deviner le hurlement de protestation étouffé de la jeune fille. Couverte par le crie de jouissance de l’homme.
Je devine ce qui vient de se passer. Sa gorge a reçu l’hommage qui aurait dû être destiné à son ventre ! J’ai une grimace de dégoût involontaire en comprenant que le garçon surexcité est en train de jouir dans sa bouche.
Et sa jouissance se prolonge. Il bloque de ses mains puissantes la tête de l’adolescente lui empêchant tous mouvements de fuite ou de retrait, l’obligeant ainsi à attendre qu’il termine son effusion entre ses lèvres.
D’un commun accord les deux garçons ont libéré la jeune fille.
Le brun a ôté son sexe de sa bouche alors que l’autre a lâché ses poignets qu’il avait fermement maintenu durant toute l’opération. De nouveau libre de ses mouvements l’adolescente se jette sur le sol en crachant et en toussant. Les deux garçons éclatent de rire et se moquent copieusement d’elle. Elle n’en a cure et a quatre pattes dans la paille continue à expectorer l’odieuse liqueur qui souille sa bouche et sa gorge. Elle finit par s’asseoir sur le sol et se met à sangloter essuyant les larmes de ses joues. J’imagine la honte et le dégoût auquel elle doit faire face ! Et il faudra longtemps et de patients efforts de la part de ses tourmenteurs pour la consoler. Il faut croire qu’elle leur pardonne leurs turpitudes car, après s’être rhabillés, ils sont repartis bras-dessus bras-dessous.

Quelle étrange relation la lie à ce garçon brun ? Pourquoi accepte telle d’être ainsi traitée ? Je commence à entrevoir l’étonnante possibilité qu’elle ne peut refuser de subir le désir des deux hommes....
Mais pour qu’elle raison ?
Par amour ou par contrainte ?

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Commentaires
I
A vous mes nouveaux lecteurs !<br /> Je vous embrasse et vous souhaite une bonne lecture<br /> BisouxX
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I
Je crois que nous avons toutes eu ces doux émois colombine<br /> Et je crois qu'ils déterminent ce que nous sommes "sensuellement parlant"<br /> Gros bisouxX
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I
Je ne connais absolument rien de l'histoire de Mon Maître avant moi.<br /> Mais effectivement vu comme çà, çà le fait;-)<br /> Bisou
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B
Mais, ma parole, c'est la jeunesse de ton Maître que tu racontes là ! :-D
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L
Je suis sans voix. Stupéfait.<br /> <br /> Mademoiselle, de votre écriture, que je qualifie de divine, vous avez su rendre une aventure hors de l'ordinaire davantage extraordinaire.<br /> <br /> Et cette fin en questionnement et ouverture laisse entrevoir une suite qui sera captivante.<br /> <br /> Merci.
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