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Les Carnets d'Emilie
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Le dressage d'une oie blanche.
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15 mai 2008

Chap. 9. Le sexe des Anges.

J’ai déjeuné rapidement. Cette fois j’ai pris le temps de me maquiller un peu, de prendre soins de moi. Et surtout de remettre mon collier de cuir. Après cette matinée éprouvante, je dois regagner l’atelier vers 15h. Je suis un peu fébrile je sais que Marc est avec Stéphanie en train de lui expliquer ce qu’il attend d’un " Sujet ", exercices pratiques à l’appuie. La jalousie me ronge à tel point je n’arrive pas à fixer mon attention et que je vibre de contrariété contenue.

Je referme derrière moi la porte de l’atelier. Les clefs sont sur la serrure, je la verrouille. J’ai le cœur qui bat la chamade, je respire profondément et me dirige vers la grande salle. J’écarte le rideau. Il fait sombre mais je distingue parfaitement une forme claire sur l’estrade circulaire. Stéphanie est statufiée au milieu de la pièce. Elle est entièrement nue, debout, les mains sur les hanches, les cuisses légèrement écartées, la tête baissée, les seins projetés vers l’avant comme deux pommes lisses, les reins cambrés à l’extrême lui donne une allure d’une totale impudeur. C’est la position typique que mon Maître peut imposer à ses Sujets entre deux séances de poses. Elle m’a entendu entrer et relève imperceptiblement la tête pour m’identifier. Ses cheveux tombent de chaque coté de sa tête et je ne peux voir son visage, mais j’imagine qu’il doit être rouge de confusion.
Mon Maître est à sa table de travail, il finit quelques notes, quelques esquisses rapides. Il me regarde, interrompt son travail, éteins la lampe d’architecte qui éclaire sa table. Me sourit. Sans porter attention à Stéphanie il passe à côté d’elle, se dirige vers les baies du nord et d’un coup sec ouvre les rideaux. La lumière inonde la salle. Stéphanie sursaute légèrement. Je perçois mieux maintenant le frémissement nerveux qui parcours son corps exposé. Elle est tendue comme un arc, la confrontation à dû être rude.
Je pose mon sac sur la table de l’entrée et prends la pose d’attente adéquate attendant les ordres de mon Maître.
- Je vois que vous avez remis votre collier Mademoiselle !
Je baisse un peu plus la tête pour marquer ma honte d’avoir failli.
- Bien... On en reparlera !
Son ton est sec et cassant, et je pense effectivement qu’il est entrain de concocter une terrible punition, comme seul lui est capable de l’imaginer. Et plus le temps passera entre ma faute et la punition et plus celle ci risque d’être inattendue.
- En attendant, pouvez-vous vérifier si Mademoiselle Stéphanie a apprécié notre entretien, s’il vous plaît !
Je ne comprends pas immédiatement ce qu’il veut. Je relève la tête et lui lance un regard d’incompréhension. Devant mon inaction et comprenant que je n’ai pas saisi ses paroles il inspire bruyamment, se pince les lèvres en un sourire contraint et me regarde en penchant la tête sur le coté comme s’il contemplait une demeurée. Cela aurait pu être comique s’il n’avait lancer.
- Vérifiez donc si elle mouille… Mademoiselle !
Mon Dieu ! Je comprends brusquement ce qu’il attend de moi ! Mon cœur loupe un battement, et mes oreilles commencent à bourdonner sous le coup de l’émotion. Je reste un moment interdit, ramène mes mains devant moi et les joints pour me rassurer. Je fais deux pas chancelant vers Stéphanie qui n’a pas manqué d’écouter la conversation. Elle ne bouge pas. Je lance un regard à mon Maître comme pour chercher un soutien, un conseil. Je ne sais pas trop comment commencer. Ma propre humiliation par Kristale, dans les mêmes conditions, me revient en mémoire. Autant faire de même !
Je saisis délicatement presque timidement Stéphanie par la nuque. Je sens distinctement sous mes doigts la chaleur de sa peau et le frisson qui la parcourt à mon contact. J’appuie sur le cou, elle résiste. Timidement, presque avec retenue je lui demande dans un chuchotement.
- Mets-toi à genoux Stéphanie s’il te plaît !
Dans le même temps je force la pression, sa résistance cède, elle s’agenouille jambes toujours écartées et je l’oblige à poser son visage sur le sol. La voici cul par dessus tête, son intimité totalement offerte au regard. La plus humiliante des positions que je connaisse. Je prends une profonde inspiration et me glisse derrière elle, je baisse mon regard entre ses jambes et là, je contemple la plus belle chose qu’il m’a été donné de voir !

Niché entre les cuisses ouvertes de Stéphanie, un fruit d’une incroyable finesse. Entièrement épilé, non pas seulement rasé comme je le suis moi même, mais soigneusement épilé, une peau glabre et soyeuse qui appelle la caresse. Ce fruit divin laisse délicatement voir à travers une jolie fente lippue au teintes subtilement nacrée sa chair tendre et sirupeuse. Même l’étroit passage qui surmonte ce fruit est d’une finesse d’orfèvrerie, resserré sur une rosette digne d’un bijou. Cette merveilleuse intimité palpite doucement et semble irradier une douce chaleur qui gagne mon visage. Je suis stupéfaite d’une telle beauté et reste un moment interloquée. Je regarde Marc qui m’observe, je voudrais lui faire partager le bonheur de cette vision. Si un ange doit avoir un sexe il est comme celui là !
Marc a remarqué mon trouble il s’approche et lance un œil rapide sur l’entrejambe de Stéphanie. Il penche la tête sur le coté et a un petit sifflement admiratif. Il me regarde droit dans les yeux.
- C’est beau Non ?
Je ne sais que réponse et comme assentiment reporte mon regard sur cette merveilleuse vision
Je reste un instant sans savoir quoi faire puis pose mes deux mains sur les fesses de la jeune fille, elle frémit. Mon Maître s’est saisi de son appareil photo. Il va falloir que je me décide ! Il va falloir que je viol ce sexe d'ange ! Presque en tremblant ma main vient effleurer la proéminence lisse. Je frôle délicatement le sillon rosé. Stéphanie se raidit sur ses genoux et ses pieds se soulèvent du sol. Je retiens un soupir d’émotion et introduit une phalange décidée entre les lèvres roses et humides. Les pieds de Stéphanie se reposent sur le sol, elle consent à la caresse et se détend. Je promène le doigt inquisiteur le long de la fente pour en ouvrir délicatement le passage. Enfin décidée, je plonge plus profondément l’index au fond du moelleux conduit entraînant avec lui mon majeur. C’est maintenant deux doigts timides qui violent l’intimité de Stéphanie. A l’unisson mon ventre commence à répondre à cet attouchement que je lui impose, je trouve la situation de plus en plus excitante. Une bouffée de chaleur me monte au visage et enflamme mes reins. Je lance un coup d’œil rapide à Marc qui m’incite d’un coup de menton a aller plus loin. J’amorce un mouvement de va et viens. Quelle étrange sensation de caresser une femme, de prendre la place d’un homme ! J’avais déjà bénéficiée de telles caresses par l’entremise de Kristale. Mais je ne les avais jamais rendues de façon volontaire. Là, ma confiance grandit et le mouvement que j’imprime à mes doigts en devient plus rapide, plus profond. Stéphanie a lâché un premier gémissement étouffé. Cela m’encourage, j’ai maintenant l’envie malsaine de la voir jouir entre mes doigts, de la voir se contorsionner de plaisir honteux devant mon Maître. Car je sais à quel point sa position et ce qu’elle subit peut provoquer comme sensation de honte. A l’intérieur du ventre de la jeune fille j’écarte mes deux doigts pour en jauger l’espace. Immédiatement, ils reçoivent un flot visqueux et s’enduisent d’un liquide chaud et abondant alors que Stéphanie se crispe de tout son corps et que son gémissement se prolonge d’un cri perçant. Cela me décontenance un instant. Mais imperturbable, meus par un plaisir immoral, je continue mes odieuses caresses, fouillant maladroitement Stéphanie au plus profond du moelleux passage. Une Stéphanie qui perd rapidement toute contenance et manifeste bruyamment son plaisir par un long vagissement entrecoupé de halètements indécents. Comme il est facile de faire jouir cette fille ! Ma main est littéralement enduite de sa liqueur de Cyprine qui sourd avec abondance de la fente écartelée par mes doigts. A tel point que j’en ai le regard hypnotisé par ce que je fais. Marc, a qui rien n’échappe, se penche à mon oreille et murmure sur un ton entendu.
- Femme-fontaine !
Je ne pensais pas qu’il était aussi facile pour une femme d’atteindre la jouissance par une simple caresse. Mais il faut dire, il est vrai, que cette caresse est reçue dans des conditions très particulières ! Je comprends que Stéphanie à été mise en condition avant mon arrivée. La main de mon maître s’empare de mon poignet, lui imprime quelques mouvements pour bien me faire comprendre que c’est lui qui caresse Stéphanie par mon intermédiaire. Satisfait, il me retire de la cavité trempée de la jeune femme. Les gémissements de Stéphanie décroissent lentement pour s’éteindre dans un soupir. Un filet de liqueur coule entre ses jambes et vient mollement s’écraser sur le sol. Le résultat de son étonnante jouissance.
Marc semble satisfait de cette petite expérience et moi je me perds dans les sentiments contradictoires qui m’assaillent. Ce plaisir malsain que j’ai ressenti à imposer à cette fille cette caresse si intime et la joie de profiter d’un aussi joli fruit, un désir de possession, j’ai brutalement envie de posséder ce corps de le serrer contre moi, de me fondre en lui. C'est bien plus que les étreintes, un peu forcées, échangées avec Kristale même si cela était troublant. Non ! Là, il y autre chose ! Le rouge de mes joues doit trahir mes pensées. Marc me sourit fait signe de me relever et de le suivre. J’essuie subrepticement ma main collante de liqueur sur mon jean et le rejoins sur le divan de cuir noir. Stéphanie n’a pas bougé, elle garde sans broncher l’humiliante position. Marc s’éclaircit la voix et lance.
- Tu as aimé Stéphanie ?
Il faut un moment pour qu’elle réponde. De dessous ses cheveux qui cachent son visage nous parvient une voix un peu comateuse.
- Oui… Monsieur !
Marc enfonce le clou pour parfaire l’humiliation.
- Il te faut remercier Isabelle pour cela !
Les fesses toujours en l’air, tremblante de tout son corps, Stéphanie ne peut que satisfaire à son injonction. Dans un souffle elle lance d’une voix toujours étouffée.
- Merci, Isabelle !
C’est la première fois qu’une femme me remercie pour mes caresses.
- Relève-toi !
Péniblement Stéphanie se redresse. Elle est cramoisie de honte et de pudeur malmenée. Elle me semble presque en état de choc. Sa joue porte la marque du sol sur lequel elle s’appuyait. Ses yeux sont brillant et fuis notre regard. Elle a gardé les jambes écartées et je ne peux m’empêcher de regarder son bas-ventre brillant d’un vernis onctueux. Par un brusque sentiment emphatique je suis presque aussi mal à l’aise quelle !
- Allons ! Les mains dans le dos, Mademoiselle !
Elle s’aperçoit qu’elle avait omis de reprendre une pose parfaite, et Marc vient de lui en faire le reproche.
Je souris intérieurement. Son dressage va être long !

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Commentaires
D
Le texte est beau, excitant au possible...<br /> Les photos magnifiques... Elle est belle Stéphanie ! Je comprends que tu aies envie de la serre contre toi... Mais le pourras-tu ? L'histoire nous le diras... Impatience de te lire... <br /> Bises, belle et soumise Isabelle
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O
Magnifique. Tout en érotisme et subtilité. <br /> Vite vite....la suite....sourire....<br /> <br /> delphine
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A
Un seul mot : sublime<br /> Merci Isa de te livrer ainsi....
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A
Alors la tu me laisse sans voix...<br /> Une vrai merveille ce texte et ces photos j'en ai froid dans le dos (c'est l'atelier de marc ?.<br /> Je vais passer une bonne journée.<br /> Bizx
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