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Les Carnets d'Emilie
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Le dressage d'une oie blanche.
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4 juin 2008

Chap. 10. Un goût de paradis.

Un dressage long ? Apparemment Mon Maître ne l’entend pas de cette oreille !
Nous restons un long moment à contempler Stéphanie en silence. Sa poitrine se soulève dans un rythme saccadé, elle tente de reprendre son calme. C’est une fille vraiment très jolie, son corps nue écartelé ne peut nous dissimuler aucun de ses charmes. Peu à peu sa respiration reprend une cadence régulière. Marc ne lui laisse pas le temps de recouvrer ses esprits.
- Pourriez-vous vous tourner Mademoiselle ?
Stéphanie prend un moment avant de comprendre que Marc s’adresse à elle. Lentement, avec précaution, en prenant appuie sur ses mains, elle bascule et pivote sur ses genoux. Elle nous tourne maintenant le dos.
-
Penchez-vous vers l’avant, posez votre visage sur le sol !
Elle retrouve ainsi la pose que je lui avais fait prendre pour explorer son intimité. Le feu me monte un peu au visage. Je ne peux me détacher de cette vision que nous offre Stéphanie et cette chaleur sourde qui m’envahit le ventre. Je croise nerveusement les jambes et les décroisse aussi rapidement. Je voudrais être ailleurs et en même temps je ne manquerais pour rien au monde cette humiliation que subit Stéphanie sans broncher.
-
Très bien… Pouvez-vous vous écarter un peu plus s’il vous plaît ?
Stéphanie écarte les jambes dévoilant un peu plus le fruit fendu de pourpre. Marc a son petit claquement de langue de contrariété.
-
Non... Non... Avec vos doigts Mademoiselle !
Un frisson me parcourt la nuque. Je baisse les yeux vers mes pieds et reviens peu à peu vers la forme nue, offerte. Marc me jette un regard rapide pour s’assurer que je ne me suis pas détournée. Je comprends alors que ce qu’il fait subir à Stéphanie, c’est pour moi. Par ricochet, il me met sciemment mal à l’aise, il joue avec ma timidité et a décidé d’aller le plus loin possible.
Stéphanie remonte une main le long de sa cuisse, glisse par dessus sa fesse droite. Elle se contorsionne et ses doigts viennent effleurer les lèvres humides de son ventre. Deux phalanges se glissent à l’intérieure et les écartent doucement comme le ferais une gamine timide avec sa bouche. Le rose pourpré et brillant d’un vernis liquoreux de son intimité se dévoile à mes yeux.
Marc se lève et rejoins la jeune fille en deux enjambés. Il pose un genou à terre et d’un doigt soulève la lèvre opposée de celle qu’écarte Stéphanie. Je distingue maintenant nettement l’orifice écumeux de l’étroit canal ou j’ai auparavant introduit mes doigts. Inconsciemment je masse mon index dans ma paume et me frotte le dessous du nez. L’odeur de musc qui si accroche encore, l’odeur de Stéphanie, me saute littéralement au visage. Catastrophé par la sensualité que ce parfum déclenche contre mon gré je replace vivement ma main sur mon genoux. Je ne sais plus comment me mettre. Marc pose une main en appui sur le haute de ses fesses, se penche, approchant ainsi son visage de la figue ouverte, et doucement se met à souffler vers l’intérieure de l’orifice. Cette subtile caresse je la connais ! Un curieux fourmillement pétille dans le bas de mon dos alors qu’un frisson me parcourt la colonne vertébrale. Impulsivement mon ventre s’ouvre en même temps que ma bouche, et je sais que mon sexe est entrain de s’inonder. Stéphanie réagi par un gémissement inaudible. Satisfait du résultat Marc se redresse puis se penche a l’oreille de Stéphanie lui murmurant quelques mots que je ne comprends pas. La belle soumise cesse sa caresse et s’affale sur le sol, basculant sur le dos. Sa main regagne son entre jambe en passant cette fois ci sur son ventre. Encore quelques mots à son oreille et Marc se redresse.

Stéphanie est maintenant allongée à ses pieds les jambes largement écartées et entame une caresse intime lente et profonde. Le plaisir qu'elle prend ainsi devant moi me met mal à l’aise. Je détourne souvent le regard, mais irrésistiblement comme attirés par un aimant mes yeux reviennent contempler l’étrange tableau de cette jeune fille impudique qui, aux pieds de mon Maître, lui offre le spectacle de sa masturbation. Marc recule d’un pas et me regarde, ou plutôt, il m’observe. Stéphanie continue son massage intime. Ses reins se cambrent et perdant toute pudeur, comme si elle était seule, se caresse avec de plus en plus de vigueur. De nouveau mon Maître s’accroupit et se penchant sur elle, lui murmure à l’oreille. Je ne peux toujours pas entendre ce qu’il lui dit et cela m’agace un peu. La conversation à voix basse se prolonge ainsi en aparté. Stéphanie se cambre de plus en plus sous l’effet de ses caresses. De temps en temps Marc lève les yeux vers moi et continue à lui susurrer à l’oreille. Stéphanie ne tient plus et fini par laisser s’échapper des "oui " languissants de plus en plus audibles. Je me demande ce que peut bien lui raconter Marc ! Stéphanie ponctue chacune de ses fins de phrase par un oui langoureux et finit par lancer un "oui, Monsieur ! " , dans un halètement indécent. Marc lève alors les yeux vers moi.
-
Viens là Isabelle.
Ma respiration se bloque. Craintivement je me lève et les rejoins.
-
A genoux !
Je m’agenouille en face d’eux. Stéphanie est entre nous. Marc pose une main sur le bras de la jeune femme et arrête son mouvement ramenant sa main sur son ventre. D’un geste lent il fait pivoter la grande sellette ronde et Stéphanie se retrouve face à moi les jambes largement écartées. Je ne peux m’empêcher de lorgner le magnifique fruit fendu qui s’offre, impudique, à mon regard. Marc me regarde en souriant. Je devine immédiatement ce qu’il va exiger de moi. Et je ne me trompe pas lorsqu’il me lance.
- Peux-tu me dire quel goût à cette jeune femme ?
Nos regards se croisent. Inutile de résister. Je respire profondément, ramène mes cheveux en arrière et me penche vers l’avant. Mes lèvres se rapprochent timidement du fruit charnu. Bizarrement je ne trouve pas ragoûtant ce que me demande mon Maître. En fait, je m’attendais un peu à ce qu’il me fasse participer… Mais pas de cette façon ! Je m’enhardis et pose ma langue sur le ventre de Stéphanie, elle frissonne. Je glisse sur la peau jusqu’au début de la fente de son sexe épilé. Il en émane un parfum indéfinissable capiteux un peu semblable a du vin chaud à la cannelle mêlé à une fraîche acidité saline. Ce parfum m’enivre et me rassure à la fois. Non ce que je vais faire n’est pas sale ! Au contraire ! Stéphanie est entièrement tendue vers moi et n’attend qu’une chose. Que je goûte sa saveur ! La tension est à son comble lorsque mes lèvres se posent sur la fente offerte. Elle se cabre, tente inconsciemment d’échapper au baiser sacrilège. Mais en fait, maladroitement, elle accentue la pression de ma bouche scellant ainsi notre union buccale. Je me lance alors dans un profond baiser avec ce fruit de paradis que m’offre Mon Maître. De la langue j’écarte le sillon humide et je m’y enfonce avec volupté. Stéphanie lance un petit cri de biche blesser et ses jambes se crispe sur le sol. Encouragé par sa réaction et je m’empare de son clitoris entre mes lèvres et entame une lente succion saccadée. J’agis d’instinct sans trop savoir si mes caresses sont celle qu’il faut prodiguer. Je m’évertue à faire ce qui, moi, me ferait plaisir. Et je suis sur la bonne voie, c’est plus qu’il n’en faut pour que Stéphanie se liquéfie littéralement sous mes caresses. Je suis bientôt barbouiller par sa liqueur de Cyprine qui sourd abondamment de la source à laquelle je bois. Je commence à m’échapper dans mes rêves lorsqu’une main me saisis par les cheveux et interrompant mon baiser me relève vivement la tète. Tout à mon émoi j’en avais oublié ce pourquoi je me trouve à genoux, la tête entre les jambes de Stéphanie.
-
Alors ? Quel goût !
Un peu éberluée, je tente de reprendre ma respiration, je reste un peu interloqué et ne sais quoi répondre.
-
Goûte mieux !
Et Mon Maître en m’appuyant sur la nuque me plaque violemment le visage sur l’entrejambes détrempé.
Plusieurs fois Marc soulève sans douceur ma tête et me pose la même question. Parfois il glisse un doigt sur la fente juteuse de Stéphanie pour en recueillir le précieux nectar, le porte à ses lèvres et prends des airs de sommelier qui goûte un grand vin. N’étant pas d’accord avec moi il me replonge dans les vapeurs délicates et enivrantes exhalées par le ventre de Stéphanie pétrifiée sur le sol.
Mais comment décrire cette saveur ? Une saveur d’interdit, de stupre, de plaisir, de honte et d’humiliation qui s’écoule de la fente angélique de la jeune fille sinon en la comparant au nectar des dieux… Un goût de paradis !

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Commentaires
M
c drole pour c si bon
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O
Toujours autant d'émotions à la lecture de ton incroyable histoire...Et toujours le meme regret lorsque ma lecture se termine.....vite vite la suite ! lol<br /> <br /> Merci et encore bravo ! continue !<br /> <br /> Delphine
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A
Ce n'est pas pour moi<br /> j'en suis pas encore la... pas du tout<br /> Mais en y réfléchissant, c'est tentant ;-)<br /> si il me le propose pourquoi pas<br /> çà classe plus qu'n tatouage tout le monde en a !<br /> Baisers Brulants<br /> Aurore
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I
Allons donc ..un peu de retenue...;-))<br /> Encore que !<br /> Bisoux charnels... Là où tu veux !
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I
La Guyane...Mais c'est la jungle là bas ?<br /> Avec des moustiques gros comme des pigeons !<br /> Pas bon pour ma peau blanche de rouquine çà!<br /> Ils m'aiment bien les moustiques!<br /> Bisoux Lointain.. Très Lointain.
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