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Les Carnets d'Emilie
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Le dressage d'une oie blanche.
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14 juillet 2011

Chap.10. Intime bâillon.

Marc hoche la tête avec une moue de satisfaction. Béatrice est totalement ferrée. Il l’a compris comme je viens de le comprendre. Il contemple le slip qu’il tient du bout des doigts et semble se perdre dans ses pensées.
Un moment d’absence qui ne dure pas. Ses yeux se portent sur moi.
Il pose un genou à terre.
- Ouvrez la bouche en grand Mademoiselle !
Sans chercher à comprendre j’obéis.
En un geste rapide et précis Mon Maître lève la main vers moi et enfonce d’un seul trait le slip de ma sœur entre mes lèvres. Surprise j’ai un haut le cœur et un sursaut en arrière lorsque le tissu touche le fond de ma gorge. J’ai le reflex d’éructer l’intrus mais me contrôle en prenant une large et bruyante inspiration par le nez. Mes yeux se mouillent et une larme perle à mes cils. Heureusement je n’ai pas refermé, en un réflexe incoercible, ma bouche sur les doigts de Mon Maître !
Mes genoux se posent de nouveau au sol et je me calme bien que je comprenne maintenant la teneur de la punition. Devant ma passivité retrouvée, Marc introduit méticuleusement, entre mes lèvres, les bouts de satin qui pendent encore hors de ma bouche. Il s’emploie à ne laisser dépasser, des deux côtés de mes lèvres, que le cordon du string. Désarçonnée, je lève les yeux vers ma sœur. Je sais quelle m’observe au travers de ses yeux mi-clos. Que doit-elle penser de moi ? Etre capable d’accepter cette humiliation infamante. La bouche emplie du slip qu’elle portait il y a quelques instants et abondamment souillé du nectar de son ventre qui plus est ! Je peux en sentir le goût et l’odeur animal qui se mêle à ma salive. La larme se décroche de mes cils et roule le long de ma joue. Marc la rattrape d’un index en crochet avant qu’elle ne tombe au sol et la porte à ses lèvres la goûtant comme un met précieux. Je lui lance un regard implorant. Il y répond d’un clin d’œil en souriant. Un encouragement ?
Toujours à demi agenouillé contre la jambe de Béatrice, il me lance.
- Maintenant que cet obstacle est tombé et qu’il est sous bonne garde. Nous allons vérifier si ta sœur a les mêmes aptitudes que toi à manifester son plaisir !
Il crochète de son bras gauche la jambe droite de Béatrice et y pose sa main droite. Il en caresse la surface juste au dessus du genou et, après en avoir jugé la douceur, ses doigts remontent, pivotant ostensiblement entre ses cuisses écartées vers l’entrejambe parfaitement épilé.
Je comprend ce qu’il va faire. J’écarquille un instant les yeux pour montrer ma désapprobation. Puis, je ferme les yeux et détourne mon regard d’indignation.
Immédiatement Marc a un claquement de langue de réprimande.
- Tss… Tss…Mademoiselle ! Veuillez regarder, s’il vous plaît !… Et vous en rendrez compte dans les moindres détails dans vos récits !
Je souffle du nez et si je le pouvais, je me mordrais les lèvres. Lentement je redresse la tête et ouvre les yeux.
La main de Marc s’est figée à quelques centimètres de la vulve de Béatrice. Une fois sûr que je suis à nouveau attentive, il reprend sa progression.
Tout en me regardant, il lance d’une voix forte.
– Mademoiselle Béatrice, veuillez écarter un peu plus les jambes que votre sœur puisse mieux voir !
Je suis stupéfaite de constater que Béatrice exécute l’ordre sans rechigner.
Sa jambe droite emprisonnée, elle tortille son pied gauche sur le tapis pour l’éloigner d’une vingtaine de centimètres, augmentant l’ouverture et facilitant ainsi le passage de la main de Mon Maître.
Le tendre fruit fendu totalement glabre, lisse comme un abricot est maintenant une proie facile. La main reprend sa marche. Un premier contact du bout des doigts sur les lèvres de la fente fine comme une cicatrice fait se crisper Béatrice. Les muscles de ses cuisses se contractent comme pour fuir, mais elle ne peux plus se dérober maintenant. Les doigts se font pressant et écartent le tendre passage. Une première phalange du majeur s’introduit puis la première de l’index. Je n’ose plus cligner des yeux. Et je vois progresser entre les plis délicats les deux doigts joints. Je lève rapidement les yeux vers le visage de ma sœur. Elle se mord les lèvres et sa poitrine se soulève en une respiration retenue. Mais elle garde docilement les mains derrières le dos. Le temps de ce coup d’œil et les doigts sont déjà profondément enfoncés en elle. Mon Maître imprime un mouvement de rotation à sa main. La chevalière qu’il a l’annulaire s’encastre entre les lèvres comme si elle aussi elle voulait pénétrer le passage déjà envahi Cette fois Béatrice gémit. Mais je ne parviens pas à définir si c’est un soupir de protestation ou de plaisir. Ses reins se creusent, son ventre se tend. A une cinquantaine de centimètres de mes yeux je ne peux manquer la palpitation sourde qui pulse sous son nombril.
- Et bien ! Ta sœur n’a vraiment rien à t’envier !
Il retire brusquement ses doigts du fourreau de chair. Il les tend vers moi
- Regarde !
Ils sont luisant de liqueur de Cyprine et Marc les balance si prés de mon visage que je peux en sentir l’odeur fade et sensuelle.
Pourquoi je hoche la tête en signe d’assentiment ? Peut-être par réflexe ! Et la bouche emplie du slip de ma sœur, je ne peux lancer le rituel " Oui, Monsieur !"
Marc sourit et continue son monologue
- Tu paries qu’il ne faut pas grand chose pour qu’elle jouisse comme une jeune rosière ?
Et joignant le geste à la parole, de nouveau, il empale fermement le délicat orifice. Une nouvelle fois sollicitée, et de la plus vigoureuse des façons, Béatrice ne peut s’empêcher un gémissement. Comme en réponse à sa plainte Marc imprime un puissant et rapide mouvement de va et vient à ses doigts lubrifiés, écartant sans vergogne les lèvres offertes et nappées de liqueur huileuse. Cette fois ma sœur perd contenance. Tout son corps se cambre. Elle lance une plainte aiguë vers le plafond et rompant la pose se couvre le visage de ses mains comme pour se cacher, et retenir ce cri qui est manifestement un cri de jouissance. Dans son spasme elle cherche à resserrer ses cuisses et ploie sur ses genoux. Mais revient vite en arrière en tendant ses jambes et se soulevant sur la pointe des pieds comme pour amortir un nouveau coup de boutoir qui la soulève presque du sol.
Comme dans un rêve, je contemple les doigts de Marc luisant de liqueur de Cyprine entamer, un piston bien lubrifié, un mouvement de va et vient de plus en plus rapide ! Béatrice est si crispée qu’elle reste maintenant sur la pointe des pieds et enfoui son visage dans ses bras. Ce qui n’étouffe pas les petits jappements de plaisir qu’elle ne peut s’empêcher de lâcher. Jappements qui se transforment en un long gémissement énamouré lorsque Marc amplifie encore son oscillation entre ses jambes martyrisant le fruit distendu de ses doigts maintenant nappé d’un sirop onctueux et brillant qui mouille sa main jusqu’au poignet.
J’aurais voulu y échapper, mais le spectacle de Béatrice écartelée, se tortillant pour repousser la montée de son plaisir sous les doigts de mon Maître. Cette vision ne peut manquer de m’échauffer les sens . Et bien malgré moi, mon ventre s’enflamme et se mouille sans vergogne appelant la caresse. Je serre les dents sur le slip trempé pour essayer de me contrôler de repousser ce plaisir coupable. Mais cela est peine perdue. Les gémissements de ma sœur m’entraînent à sa suite dans une onde brûlante qui me submerge et monte du creux de mes reins le long de ma colonne vertébrale, hérissant les cheveux de ma nuque. Mon cœur s’emballe et ma respiration s’accélère. Ces doigts ! Je les veux en moi !… Maintenant ! Moi aussi je veux me tordre de plaisir comme le fait ma sœur sous mes yeux !

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Commentaires
I
Oui, cela me dit quelque chose.<br /> Respect et dévotion, Madame!
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I
Si tu es la Raphaelle que je crois je pense que nous nous connaissons;-) Enfin moi je te connais de loin. Et oui! je pense que nous nous rencontrerons bientôt.
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I
Je suis de retour et merci a tous pour votre patience ;-)
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O
quand seras tu de retour?<br /> <br /> bises coquines<br /> <br /> delphine
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M
a quand la suite <br /> bisous
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