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Les Carnets d'Emilie
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Le dressage d'une oie blanche.
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23 juillet 2013

Chap. 19. Parfum de Havane.

Ainsi postée, mon regard se pause automatiquement au centre de la rosace. A pas lent Marc vient si placer exactement. Je garde les yeux fixés à ses pieds et je devine qu’il me détaille avec l’intensité qu’il lui est coutumière. Instinctivement je tends les muscles de mes cuisses et renforce la cambrure de mes reins. Il n’a pas besoin de me toucher pour que mes seins se tendent et que les pointes se raidissent vers lui impudiquement. Tout mon corps est tendu comme la corde d’un arc. Je veux lui plaire, lui signifier que je lui appartiens de plein droit et m’offrir à son regard comme je le ferai à ses mains. D’un rapide coups d’œil je vérifie la parfaite symétrie de ma posture et baisse un peu plus la tête notant les reflets de bronze qui s’accroche au petit triangle de poils roux parfaitement taillé qui surmonte la fente glabre et vernissée de mon ventre. Une chaleur sourde pulse dans le bas de mon dos. Je ferme les yeux.
L’attente est une des tortures préférées de mon Maître. Il en joue avec maestria. Son pas lent tourne autour de moi comme un fauve méfiant jaugeant sa proie. Toujours aussi lentement ses pas s’éloignent. Surprise, j’entrouvre les yeux et le cherche du regard. Il a gagné le bar qui s’appuie sur l’un des murs et semble chercher quelque chose. Il se penche et se redresse enfin l’air satisfait s’empare du verre de cognac qu’il avait laissé sur le bar et s’en revient vers moi tenant du bout des doigts le cigare offert par nos hôtes et une boite d’allumettes longues.
Arrivé à ma hauteur, Marc lâche la boite d’allumette qui tombe sur le sol, réunit le cigare et le verre de cognac dans sa main gauche et s’accroupit en s’appuyant de la main droite sur ma cuisse.
- Ou en étions-nous Mademoiselle ? …
Inutile de répondre.
- Ah oui !... De la nécessité de parfumer mon cigare !
Sa main glisse entre mes jambes écartées, ses doigts caressent un instant le duvet roux qui auréole mon bas ventre, puis viennent en lisser la délicate ouverture. Un frisson me parcourt l’échine lorsqu’ils jouent négligemment avec mon clitoris déjà gonflé et raidis. Mes paupières se ferment et mes yeux se révulsent sous la douce caresse qui pétille à travers mon ventre.
Marc claque de la langue pour attirer mon attention.
- Tss, Tss, Mademoiselle ! On ouvre les yeux, s’il vous plaît !
J’obéis.
Mon regard plonge dans ses yeux clairs. Il a un petit sourire satisfait et dans un même temps son doigt force la moelleuse ouverture, s’enfonce d’un coup dans mon vagin. Il y entame quelques lents va-et-vient simplement pour en goutter la chaleur et l’humidité qui va grandissante.
- Humm ! Je vois que vous m’attendiez !
De honte, je détourne mon regard une fraction de seconde.
Satisfait de son exploration son doigt me quitte aussitôt remplacer par le cylindre épais du cigare que Marc fait rouler contre l’orifice inondé par sa caresse.
Le cigare se mouille et se parfume de ma liqueur de Cyprine.

 

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Commentaires
V
Humm<br /> <br /> Les cubaines roulent les cigares sur leur cuisses....<br /> <br /> On a invente les cigares parfum vanille... La version d/s est a la cyprine....<br /> <br /> Tout est normal ici....
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