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Les Carnets d'Emilie
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Le dressage d'une oie blanche.
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19 septembre 2010

Chap.5 Nuit Câline.

Ma nuit a été des plus longue.
Sans cesse les images de l’adolescente nue chevauchée par les deux garçons à tour de rôle passent devant mes yeux. Ce ne sont que corps enchevêtrés qui défilent sur l’écran de mes paupières, avec en arrière et en gros plan, les sexes tendus des garçons qui forcent l’étroit passage de la jeune fille criant de douleur, ou de plaisir… Je ne sais pas !
Mais cet entrejambe écarté c’est aussi le mien !
Impossible de dormir ! Je me tourne et retourne dans mon lit. Une étrange excitation me parcourt de la tête aux pieds. En me mordant la langue je glisse les mains entre mes jambes et viens effleurer le bas de mon ventre vibrant à travers ma petite culotte blanche.
Non !... Il ne faut pas !
Honteuse, je cherche à refouler l’envie et croise brutalement les mains sur ma poitrine pour les empêcher de commettre l’irréparable. C’est encore pire ! Mes doigts rencontrent les petites proéminences de ma poitrine naissante dont les pointes roses se dressent immédiatement Cela en est presque douloureux. Cette fois je n’y tiens plus. Je déjointes les mains et vient frôler doucement les deux petites demi-pêches à la peau douce qui me tiennent lieu de poitrine. Mais ce n’est pas moi qui me caresse ! Avec une grimace d’effort, je tente une dernière fois de résister mais dans un même temps au grand dam de ma conscience, j’écarte largement les jambes.
Une formidable sensation me sillonne le corps lorsque mon slip se tend dans l’interstice de mon entrejambes, comme si une main invisible venait de si poser. Je suis en train de transgresser un interdit et cela me met dans un état d'embrasement indescriptible, un peu semblable à celui qui m’accompagnait lorsque j’épiais les ébats du trio. Mes caresses se font plus précisent autour et, bientôt, au-dessus des délicats mamelons de mes seins juvéniles qui se tendent tandis que mes reins s’enflamment et se creusent dans un spasme incoercible.
Dans une sorte de dédoublement de ma personne, je sens mes mains qui se promènent lentement sur mon ventre. Mes doigts papillonnent autour de mon nombril comme s’ils hésitaient puis effleurant la douce soie de ma peau finissent par se glisser sous l’élastique de ma petite culotte, se noyant dans le juvénile duvet roux de mon ventre brûlant.
La vision de la jeune fille criant son plaisir m’assaille. Le bout de mes doigts rencontre le début du fin sillon de mon ventre et le petit bourgeon de chair qui en signale l’entrée. A son contact une décharge électrique me traverse le ventre, les reins et la colonne vertébrale. Je retiens un petit cri entre mes dents serrées mais ne résiste pas à explorer un peu plus loin la fleur sensible. La première phalange de mon majeur en écarte doucement les pétales pour timidement venir si introduire. Du sillon entrouvert sourd une liqueur chaude, sirupeuse, agréable au doigt lissant ma caresse d’une voluptueuse façon. Une douce sensualité qui m’invite à m’y plonger, à y noyer mes doigts. Comme cela est étroit ! Je n’arrive pas à comprendre comment les garçons ont réussi à entrer leur si gros engins dans un passage aussi exigu. En me mordant les lèvres j’essaie d’en distendre l’entrée avec deux doigts. Effectivement je constate la souplesse de la fine fente. Elle doit certainement s’écarter largement pour laisser le passage au puissant bélier d’un garçon. Je n’ose pas aller plus loin. Je suis vierge et d’après les discussions que j’ai eu avec mes copines je pourrais me faire mal. Des parlotes de gamines ! Mais je les prends très au sérieux alors. Quittant à regret le doux fourreau, les doigts mouillés, je reviens sur le bourgeon gonflé. La substance huileuse que j’ai recueillie à la source de mon ventre adoucit le frottement et une étrange extase monte peu à peu et s’empare de mon corps lorsque j’entame un va et vient frénétique sur la tendre et sensible turgescence. Plus rien ne peux me retenir maintenant ! Ma respiration s’accélère, mon cœur bat à tout rompre et, tout à coup, j’ai l’impression qu’un arc électrique me traverse de part en part. Dans un sursaut galvanique mon corps se tend me soulevant au-dessus du matelas, rejetant loin de moi le drap qui couvrait peine ma nudité
Etais ce un orgasme? Certainement que non ! Celui que j’ai connu, le premier, entre les bras de Mon Maître lorsqu’il ma sodomisé pour la première fois m’a prouvé que non. Ce n’était pas cette dislocation fulgurante et lumineuse de mon corps et de mon âme. Non ! Mais la jouissance que j’en ai eu, a été suffisamment forte pour qu’une fois rassasiée je puisse m’endormir enfin, paisiblement, le sourire aux lèvres, étreignant convulsivement mon oreiller.

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Commentaires
L
Humm Vraiment charmant !
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D
... cette petite masturbation d'adolescente !... Ca fait rêver... <br /> Bises, Isabelle la belle...
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