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Les Carnets d'Emilie
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Le dressage d'une oie blanche.
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17 octobre 2010

Chap.6. Au rendez-vous.

Le lendemain, j’ai tenté d’apercevoir la jeune fille au lycée. Ses longs cheveux blonds étaient vraiment facilement repérables, autant que la rousseur de mes cheveux. Elle était en pleine discussion avec un groupe de garçons et de filles de sa classe. On avait l’impression que rien ne s’était passé. Elle riait, prenait des poses mimant certainement le film qu’elle avait vu hier soir à la télé. Bref, des choses que l’on fait tous les jours dans les cours d’école !
Les deux garçons n’étaient pas à ses cotés j’en ai déduit qu’ils ne faisaient pas partie du lycée. A l’observer, elle était si naturelle qu’elle me donne presque l’impression que je m’étais trompée ! Que ce n’était pas elle que j’avais vue hier, nue, dans la grange.
A la sortie des cours j’ai voulu en avoir le cœur net. Je suis rentré en coups de vent, embrassé ma mère, pris mon goûter sur le pouce et parti en courant vers la rivière… La grange !
Je suis déçue ! De mon poste d’observation je peux m’apercevoir que l’intérieur de la grange est vide ! Je reste dans l’expectative un long moment et suis sur le point de m’en retourner chez moi lorsque des silhouettes se profilent dans la chaleur de la fin de journée. Mon cœur s’affole… Sur le chemin poussiéreux, ce sont eux ! J’étais un peu en avance me semble t il. Ils sont encore tous les trois. Mon cœur tambourine à mes tempes. Je me dissimule un peu plus dans les feuillages m’interdisant tout mouvement car ils me font face et risque de me voir. Mais ils passent rapidement presque en courant entraînant derrière eux, par la main, la jeune fille qui semble mollement résister et gagnent le refuge de la grange.
Ils ne perdent pas de temps ! A peine à l’abri des regards, sauf du mien, ils entourent la jeune fille et semblent butiner autour d’elle. son tee-shirt est prestement enlevé ainsi que le délicat soutien gorge, un simple bandeau. Le plus âgé des garçons a déjà commencé à lui dégrafer son jean et lui baisser sur les genoux. L’adolescente semble essayer de tempérer leurs ardeurs en se couvrant la poitrine de ses bras et en protestant.
Cela m’agace, je n’arrive toujours pas a bien entendre ce qu’ils se disent. J’aimerais m’approcher mais n’ose pas de peur d’être découverte. La lycéenne se retrouve très vite entièrement nue. Le corps exposé et exploré fébrilement par les mains des deux garçons il s’attardent sur ses seins, dont il ont écarté de force les bras qui les protégeaient, la croupe saillante et la toison blonde de son ventre. La jeune fille se débat mollement comme si elle était assaillie par une nuée de moustiques, écartant une main trop entreprenante, couvrant son bas ventre d’une autre vite écartée par les garçons, esquivant une caresse de ses fesses d’un coup de hanche. Mais la lutte est inégale, les assaillants sont trop vigoureux pour qu’elle puisse résister longtemps. Le coup de grâce lui est porté lorsque le plus âgé s’empare de sa bouche et lui applique un baiser fougueux. Son corps se tétanise alors et elle ne bouge plus laissant libres champs au deuxième assaillant qui lui caresse impérieusement le dos, les hanches et la croupe poussant même jusqu'à lui glisser une main impatiente entre les jambes en passant par derrière.
Le baiser semble l’avoir subjugué. Et telle la proie hypnotisée du serpent cesse tout mouvement de défense. Nue debout au milieu de la paille, les yeux fermés elle serre les jambes et ramène sur elle ses bras en un dérisoire écran de protection. Elle donne l’impression d’avoir froid pourtant cette fin d’été est étouffante Les garçons en profitent pour quitter rapidement leurs effets.
Je détourne les yeux un instant. Ils n’ont vraiment aucune pudeur ! Je peux entendre leur éclat de voix et leur rire entendu. Mais la curiosité est la plus forte. Et je ne peux m’empêcher de ramener mon regard sur le trio.
Leurs vêtements volent à travers la grange. Et comme s’ils s’étaient entendus, sans se consulter, s’emparent des poignets de la l’adolescente en l’entraînant vers la botte de paille la plus proche celle ou reposent ses vêtements. Ils la couchent sur le dos avec force. Je sens bien qu’il est inutile pour elle de se débattre tant leur décision semble prise. Elle tente cependant de se relever mais rien n’y fait, cela ne restera qu’une timide tentative les deux garçons ont saisi chacun une cuisse et lui écarte vigoureusement les jambes. Elle me fait face et je ne peux manquer d’apercevoir la fente délicatement rosée à peine cachée par la fine toison dorée. Une onde électrique me parcourt le ventre. Je sais que c’est la cible que cherche à atteindre les garçons et je ne peux m’empêcher de la relier, par empathie, à ma propre vulve à peine ourlée du duvet cuivré de ma puberté.
Je n’ai pas le temps de m’attarder devant le ravissant spectacle. Le garçon brun a rapidement pris place entre ses cuisses me masquant le ventre écartelé de l’adolescente et le remplaçant par les étroits globes laiteux de ses fesses. De la main droite il fouille entre ses jambes. Et un coup de rein me fait deviner qu’il vient de forcer l’entrée tant admirée.
Le corps de la jeune fille se détend alors. Vaincue, elle cesse de résister. Ses jambes se déplient et ses pieds viennent rejoindre le sol. Le garçon entre ses jambes s’agite et lui assène de nombreux coup de reins tandis que l’autre, le petit blond, lui caresse le bras qu’il tient toujours entre ses mains et parfois pousse ses caresses jusque sur sa poitrine.
Elle ne lutte plus et se laisse faire comme un pantin désarticulé. Je ne doute pas que l’issue sera la même que lors de celle d’hier. Pourtant le garçon semble en avoir décider autrement ! Il arrête brusquement ses mouvements et se redresse lentement Il va même jusque se dégager du ventre de l’adolescente. Et ce qu’il en sort alors me laisse stupéfaite. C’est encore plus gros que ce que j’avais déjà vu. Le membre me semble avoir doublé de volume, il est tendu à l’extrême et l’énorme gland rose nacré me confirme l’impossibilité d’introduire un jour un tel engin entre mes jambes. Pourtant la lycéenne semble bien avoir été pénétré par ce bélier, et dans son entier, car l’engin est luisant de la racine de la hampe au bout du pieu ! Comme elle a du souffrir ! Elle a du être distendue à l’extrême pour pouvoir enfourner un tel engin !. Mais pourtant, réflexion faite, je n’ai pas entendu de cri de souffrance de sa part ! Je n’y tiens plus. Je jette un coup d’œil rapide autour de moi, m’assurant que je suis seule sous les frondaisons et glisse rapidement une main entre mes jambes passant sous la ceinture de mon jean et l’élastique de ma petite culotte blanche. A mon grand étonnement je suis trempée, même le tissu de ma culotte est mouillé et chaud ! Mon doigt glisse facilement sur ma fente suintante s’enduisant d’un liquide sirupeux comme du miel. Une décharge électrique me hérisse les cheveux de la nuque et mes yeux se révulsent. Le contact avec le petit bourgeon turgescent qui garde l’entrée de la fournaise humide provoque chez moi une décharge fulgurante me faisant presque tomber à la renverse. Je découvre à quel point cela peut être bon. Mais par contre la phalange qui entrouvre les lèvres brûlantes me confirme que jamais, au grand jamais, le sexe d’un garçon ne pourra s’introduire dans un aussi petit passage sans me déchirer et me faire très mal.
Je reprends mes esprits et j’en suis là de mes réflexions lorsque je relève la tête en enlevant la main de mon sous-vêtement, reprenant l’observation d’un œil dubitatif.

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Commentaires
L
En tout cas je suis toujours avec toi et avide de tes écrits<br /> Meme si ils se font rares?
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I
Je ne fais pas ce blog pour avoir des retours.<br /> Je le fais pour Marc...Mon Maître! Et pour laisser un témoignage le plus sincère possible.<br /> Sans fioriture, ni cliché<br /> Et pourtant je suis ravie de vous savoir derriere mes lignes...<br /> Nous somme ainsi entre amis ;-)<br /> Avec la centaine de lecteurs journaliers que j'embrasse un par un !<br /> <br /> Bienvenu "csa" ! Et bonne lecture.<br /> Isabelle
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C
Je suis toujours aussi passionné par ces récits, très bien écrits et pleins d'originalité.<br /> J'attends la suite avec impatience, que ce soit celle des récits de jeunesse que la reprise des autres aventures !
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B
Je trouve que tu manques beaucoup d'encouragements par rapport à ce que tu donnes et qui reste de qualité. Ce mot est pour t'encourager :-)
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