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Les Carnets d'Emilie

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Le dressage d'une oie blanche.
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28 mai 2007

Chap. 4 - Liens et bâillon.

Des cordes de chanvres sont soigneusement alignées sur une table. Il n'a pas dit un mot. Je suis debout, nue, en position de soumission.

Une première corde me lie les coudes dans le dos Ses gestes sont lents et assurés. Les deux brins passent sous ma poitrine en un bustier rugueux et viennent se nouer dans mon dos. Une deuxième corde rapproche vigoureusement mes poignets et les tire vers le bas glisse entre mes jambes et s'insinue entre les lèvres de ma vulve épilée. Il fait frais dans l'atelier mais le contact de la fibre contre mon clitoris provoque une bouffée de chaleur qui monte le long de mon ventre et électrise ma peau. La corde remonte entre mes seins et, en un mouvement, les deux petits nœuds qui terminent chacun des brins s'entortillent et se coincent dans le premier assurant une solide cohésion sans nœud.
Un troisième lien vient renforcer le premier bloquant de tout mouvement mes épaules et, renforçant le premier, ceinture fermement ma poitrine faisant pointer mes mamelons de façon impudique. Il marque un temps d'arrêt, fait un pas en arrière et contemple son œuvre.
Je lui fais face, toujours debout jambes écartées et regard baisé. Il revient vers moi et de ses pouces il caresse doucement la pointe de mes seins. Je frissonne de tout mon être. Enfin une caresse de sa part ! L'entrave qui passe entre mes jambes va sûrement garder la trace humide de mon émoi.
Le haut de mon corps est totalement immobilisé. Les cordes rugueuses émettent une odeur animale. Il m'assoit sur le sol et s'affaire maintenant à attacher chacune de mes chevilles au haut de mes cuisses puis à chacun de mes bras. Je me retrouve bientôt en chien assis. En chienne assise devrais je dire ! Largement écartelée et la corde qui passe entre mes jambes, encore plus tendue, s'enfonce profondément dans mon ventre trempé.
L'œuvre est terminée. Je suis dans l'impossibilité de faire un geste, totalement offerte. Cela crée en moi un état d'excitation et de désir incontrôlable. Je voudrais qu'il reprenne ses caresses… Alors qu'il se penche vers moi pour nouer un ruban de velours noir sur mes yeux, en état second, dans un souffle, comme dans un rêve je m'entends lui murmurer.
- Embrasse-moi !
Le ruban de velours retombe. Un ébranlement violent me ramène à la réalité. Une gifle magistrale. Un sifflement cuivré qui emplit mes oreilles et décroît lentement me laisse abasourdie. Interloquée le souffle coupé, des larmes involontaire s'échappent de mes yeux. Le choc me laisse quelques instants vide de pensée dans un néant insondable.
- Depuis quand tu me tutoies ?
- Je,... je, …
Je reprends mon souffle et ravale mes sanglots.
- Excusez-moi,...
Il me saisit la tête entre ses mains séchant mes larmes de ses pouces.
- Puisque tu l'as demandé la première chose que je prendrais de toi sera ta bouche.
Je mets un moment à comprendre. Un vent de panique me passe par la tête Cette caresse, celle qu'il vient d'évoquer, je l'ai toujours refusée à mes petits amis, la trouvant dégradante, … avilissante. Ma détermination a vacillé à ce moment. Pourtant je me suis reprise et j'ai redressé la tête. Je me suis entendue répondre d'une voix blanche.
- Oui, … Comme il vous plaira.

En Lui il y a le désir de se faire pardonner. En Lui chaque violence est accompagnée de douceur. Ce soir nous sommes allés au restaurant le plus coté de la vallée. Serveur stylé et sommelier prévenant. Repas digne d'une princesse. Une princesse sans sous-vêtement autre qu'une corde de chanvre ceignant sa taille et passant entre ses cuisses. C'est un morceau de cette corde découpée au couteau et encore imprégnée de l'odeur de mon intimité que je fais rouler entre mes doigts pendant que j'écris ces lignes… Souvenirs.

 

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27 mai 2007

Chap. 3 - Caresses.

 Lorsque j'arrive à l'atelier il est au travail. Il esquisse patiemment sur une grande toile l'ébauche de paysages de corps que je connais. Comme convenu, je ne le dérange pas. Je me faufile sans bruit dans la cabine des modèles. Je me déshabille entièrement et mets le collier qui m'attend sur une chaise. Je reviens dans l'atelier. Toujours sans bruit je m'agenouille près de lui prenant la pose qui marque ma soumission, je mets les mains dans le dos je baisse la tête, j'attends tremblante son bon vouloir. La musique envoûtante d'Am'ganesha'n me berce doucement.
Après de longues minutes, (je le soupçonne d'avoir fait durer le plaisir) Il s'interrompt et s'adresse enfin a moi.
- Qu'as-tu fait hier soir ?
Il continue de dessiner.
À voix basse je lui raconte le vide que j'ai ressenti après ma première séance. Puis la soirée morne, mes notes que j'ai commencées à mettre au clair. Zapping, une douche, un livre et au lit.
- Et ?
Mon sang se glace, il semble lire en moi comme dans un livre ouvert. Il a fallu que je lui dise que je m'étais caressée, que les souvenirs de la séance m'avaient excitée.
- Montre-moi !
J'ai relevé la tête j'ai fait mine de ne pas comprendre.
- Montre-moi comment tu t'es caressée ! Dit-il d'un ton agacé.
Ce n'était pas une requête c'était un ordre.
Alors qu'une tempête se déclenchait dans mon crâne j'ai ramené mes mains sur ma poitrine et j'ai commencé à les masser maladroitement. Mes doigts se sont emparés de mes tétons déjà durcis. Par pudeur j'ai fermé les yeux.
Un petit claquement de langue désapprobateur.
- Ouvre les yeux … regarde-moi!
Il est facile et agréable de se caresser dans le secret douillet et protecteur d'un lit chaud. Mon Dieu que cela devient difficile de le faire sous le regard d'un homme, vulnérable et impudique. Au moins les yeux fermés je gardais une part d'intimité, je me protégeais. J'ai obéi, il m'a regardée droit dans les yeux, … j'ai continué mes caresses. Mes mains ont parcouru mes seins, mon ventre, mes hanches mimant un amant invisible. Lorsque mes doigts ont touché mon sexe j'ai marqué un temps d'arrêt.
Il m'a encouragé doucement à voix basse.
- Ne t'arrête pas,... continue !
J'ai pris une profonde inspiration et introduit l'index dans ma fente humide comme je l'avais souvent fait seule. L'excitation montait et j'avais du mal maintenant à le cacher. Ma respiration s'accélère en un halètement retenu. Je me sens de plus en plus a l'aise je me dépouille peu à peu de ma pudeur et de ma honte. J'accélère le doux frottement ce qui finit par m'arracher de petits gémissements. Ces gémissements c'est, je crois, ce qu'il attendait. La preuve que je prenais réellement du plaisir à me masturber devant lui. Et non pas un show mécanique et imposé.
Il m'a interrompu.
- C'est bien... Arrête maintenant !
Alors que j'aurais voulu continuer vers un possible orgasme ! Je ramène mes mains dans le dos en séchant discrètement deux doigts poisseux à l'intérieure de ma main gauche. Mon souffle reprend un rythme normal.
- S'il te vient de nouveau l'envie de te caresser, je t'ordonne de m'en demander l'autorisation avant. Tu as compris ? Me dit-il.
J'ai acquiescée en hochant vigoureusement de la tête.

La séance s'est poursuivie par l'apprentissage des postures de soumission. Toutes plus impudiques les unes que les autres. J'ai appris à me tenir disponible dans toutes sortes de situations. Avec le facteur commun de toujours avoir les cuisses ouvertes largement ou seulement entrebâillées mais jamais fermées ou verrouillées. La bouche entrouverte en un baiser ininterrompu. Les yeux baissés, toujours offerte et soumise à la moindre de ses envies. J'ai appris aussi les signes de soumission que je pouvais,... Pardon,... Que je devais, employer en présences de "Vanilles", de personnes non-initiées. J'ai été une élève appliquée car je sais que bientôt il me mettra à l'épreuve.

Ce soir, après avoir couché dans mon carnet l'épisode de cette journée, réveillant ainsi l'empire du plaisir, j'ai téléphoné à mon Maître pour lui demander l'autorisation de me caresser…
Il a refusé.

 

27 mai 2007

Chap. 2 - La présentation.

M'y voici, mon cœur bat la chamade. Je pousse la porte de la bâtisse de pierre et pénètre dans la salle d'exposition. Le tintement du carillon de cuivre annonce mon entrée. La pièce est vide. Je fais quelques pas et contemple les dessins et peintures qui m'ont fait découvrir ce qui dormait en moi. Un froissement de rideau qui s'écarte. Il est là, souriant.
- Bonjour, … je suis Isabelle.
Et voilà je me frapperais la tête contre les murs de sortir une banalité pareille. Je me sens rougir de confusion. Il sait, Bien sûr qu'il sait… Il m'attendait.
Il m'invite à passer dans l'autre pièce en écartant le rideau. Je me faufile dans une grande salle claire qui sent la térébenthine et le bitume de Judée. Deux grandes baies au sud et deux autres au nord C'est ici que posent ses "Sujets", …Je sens leur présence à travers les esquisses qui parsèment sa table de travail, punaisées sur les murs, …Et je viens en faire partie, … Les mots ne franchissent pas mes lèvres, … Je marche dans l'atelier pour calmer les battements de mon cœur. Il me suit. Lorsque j'arrive au fond de l'atelier devant un canapé de cuir noir. Il me saisit doucement par les épaules se penche sur moi et chuchote à mon oreille.
- Agenouille-toi !
Sa voix est douce et ferme à la fois. Je n'hésite pas une seconde, je m'exécute prenant la pose qu'il affectionne et qu'il a maintes fois dessinée. A genoux sur le sol taché de peinture, les cuisses largement écartées et les mains dans le dos. En un instant je deviens la soumise que je rêvais d'être. Je n'ai plus qu'à me laisser guider. Se détournant de moi il se verse un café (café dont j'apprendrais qu'il est addict) et s'installe confortablement dans le sofa face à moi. Il passe un long moment à me contempler. Un silence pesant qui me met mal à l'aise. Il continue à me détailler. Je sais le spectacle que j'offre, mon jean délavé moulé sur mes cuisses ouvertes et qui ne cache rien des formes de ma féminité et mes seins qui pointent à travers mon sweat forcés par le rejet de mes épaules en arrière. N'y tenant plus je romps le silence.
- Je,... Je, … Ma voix se brouille, …
Je me ressaisis et lâche d'une traite, …
- Vous pensez que je ferais un bon modèle ?
De tant d'effort mon cœur s'arrête un instant. Son regard foudroie le mien. Il sourit mais semble contrarié. Et brutalement je prends conscience que je viens de commettre ma première erreur. J'ai parlé sans lui demander l'autorisation. Il émet un petit bruit de désapprobation. Un claquement de langue que j'apprendrais à reconnaître comme un signe de contrariété.
- Nous allons voir ça de suite… Déshabille toi.
Il a dit ça le plus naturellement du monde en portant à ses lèvres la tasse de porcelaine. Je savais qu'il faudrait en passer par là. Je ne pensais pas que cela serait aussi rapide. Et puis, jamais je ne m'étais dénudée devant un presque inconnu et de surcroît en plein jour. J'ai pris une profonde inspiration et me suis relevée, j'ai ôté mon sweat maladroitement. Je me sentais gourde sous son regard, un trouble intense m'emplit la tête de coton. Comme hypnotisée, je continue mon effeuillage c'est mon pantalon qui tombe, mon bustier noir et bientôt mon string assorti qui rejoint mes frusques sur le sofa à coté de lui. Je sais que je suis rouge comme une pivoine. Des sentiments contradictoires me traversent l'esprit, plaisir malsain, envie de fuir de me cacher. Ça y est, je suis nue sous son regard inquisiteur.
- Reprend la pose.
Je m'agenouille sur le sol. J'écarte les jambes. Je ferme les yeux. J'entrouvre la bouche. En m'écartant ainsi j'offre, impudique, à ses yeux la vision de mon ventre parfaitement épilé ainsi qu'il l'avait exigé lors de nos précédentes correspondances.
- Enlève tes bijoux". Continua-t-il "Quand je dis nue, je te veux sans aucun ornement autres que ceux que je t'offrirais".
J'enlève mes bagues, boucles d'oreille et la petite chaîne d'or qui porte ma croix de baptême. Il s'étonne qu'aucun piercing ne troue ma peau.

C'est ainsi que nous allons converser pendant plus d'une heure. Lui confortablement installé, moi à genoux devant lui, nue comme au jour de ma naissance. Peu à peu au fil de la conversation je m'habitue à ma situation et commence même à ressentir un trouble plaisir. Il m'explique tout ce qu'il attend de moi. Une disponibilité totale, une soumission totale, une confiance totale. J'acquiesce d'un hochement de tête à chaque énumération de ces exigences et prends la parole chaque fois qu'il me l'autorise.
C'est à cette occasion que je reçois le save-word Ce mot de passe qui, si je le prononce, doit interrompre un acte que je refuserais d'effectuer ou de subir. Mais il attache une condition terrible à l'emploi de cette porte de sortie. Si je l'utilise, je ne pourrais pas revenir en arrière. Il me faudra alors partir et ne plus revenir. Ne pas aller au bout de mon expérience ? Une perspective que je ne peux même pas imaginer.

 Enfin le moment arrive, celui dont j'avais tant rêvé, qui va marquer mon adoubement, celui qui va sceller notre contrat et mon destin pour au moins les dix prochains jours. Il se lève, s'éclipse quelques instants et revient avec un coffret de bois blanc. A l'intérieur sur un lit de velours noir plusieurs colliers de cuir ouvragés de cuivre et d'acier. Ceux que j'ai tant admirés. Il se saisit de celui gravé d'une silhouette féminine enchaînée en position de soumission "Le collier d'une novice" dit-il. Il s'agenouille face moi et porte à mon cou la parure tant convoitée. Le pacte est scellé. La joie irradie mon visage. Il m'embrasse tendrement sur le front.
Je vais recevoir dans le même temps un autre collier. Plus petit, une lanière de cuir noir parsemée de clous sur lequel est fixé un petit grelot d'or. C'est le collier d'apparat celui que je ne quitterai pas, celui que tous le monde pourra voir comme un simple bijou, un peu gothique, mais qui représente bien plus en fait. Le tintement du grelot me rappellera à chaque mouvement de tête à qui j'appartiens et qui je peux maintenant appeler… Maître.

Ma nuit a été agitée, nombre de fois le grelot m'a ramenée à cette première journée. Je me suis revue nue soumise dans cette pose impudique. Bien sûr, je me suis caressée,... je n'y tenais plus, et mes fantasmes ont peuplé mes rêves. J'ai réalisé qu'à part le baiser fraternelle posé sur mon front Il ne m'avait pas touché. J'ai compris que mon chemin ne faisait que commencer, et que j'allais être guidée à pas comptés.

27 mai 2007

Chap. 1 - Au commencement ...

Il y a deux jours j'ai reçu la clef du meublé par courrier. Elle était accompagnée d'une feuille de papier manuscrite à la plume. La liste des affaires que je devais amener, ainsi que les instructions pour mon voyage. Cela ne va pas être facile de parcourir six cent kilomètres nue sous mes vêtements surtout en jupe courte. Mon permis tout neuf en poche. En espérant ne pas commettre d'impair sur la route. J'imagine d'ici le contrôle de police ou de gendarmerie... Et la fouille au corps, peut être ?
Dans la liste des recommandations, un désir, pardon que dis-je, une exigence de celui que je vais rejoindre. Simple et compliquée à la fois. Simple pour la dingue de littérature que je suis et compliqué pour ma pudeur. Tenir le journal de cette aventure et le publier.
Ces vacances de Pâques s'annoncent studieuses..

27 mai 2007

Préambule

EmilieNous nous sommes rencontrés mi-septembre 2006, presque à la fin des vacances universitaires. Mes parents sont, à leurs heures, collectionneurs d'art. Je les ai accompagnés dans son atelier. Je suis restée silencieuse alors qu'ils discutaient. Ils ont voulu tout voir. Ils ont fouiné jusqu'à découvrir cette alcôve où il dérobait à la vue des non-initiés une série de dessins, de pastels et de sculptures époustouflantes. Des nus de jeunes femmes soumises à de terribles contraintes. Elles semblaient à la fois heureuses et accablées, prisonnières de liens divers.
Cela a été un véritable choc pour moi. Une révélation. Cela correspondait tellement à cette partie de moi, cette partie que je cachais que je refoulais. Nous avons pris congé après des salutations courtoises et chaleureuses avec, pour mes parents, un magnifique pastel (qui siège aujourd'hui au mur de la bibliothèque). Et pour moi une carte de visite subtilisée discrètement à la pile de bristols qui trônait à côté du livre d'or de l'artiste. Elle présentait ses coordonnées internet avec en filigrane une jeune femme nue, ligotée. Nous sommes repartis sur Paris.
Début octobre j'ai repris mes études à Paris VII.
Cet automne là, de nombreuse fois j'ai visité son site, j'ai longuement hésité et enfin je me suis décidée. Dans ce que je qualifierais d'acte manqué, j'ai égaré sa carte. Heureusement (merci Google) je l'ai retrouvé sur un forum où il présentait ses œuvres les plus récentes accompagnées de charmants poèmes. J'ai pris contact à travers ce forum timidement et maladroitement certainement. Il se souvenait de moi, du rouge de mes joues et de mon mutisme gêné lors de notre visite. Je me suis enhardie. Et bientôt nous avons échangé régulièrement. Peu à peu je lui ai confié mes expériences et mes fantaisies les plus intimes. Il ne s'est pas moqué, il ne m'a pas jugée. Mes fantasmes il en fait son univers artistique, vous pensez bien que je ne le surprenais pas. Cela n'a pas été facile de lui avouer que mon rêve le plus fou avait germé cet été dans son atelier. Il avait grandi et s'était fortifié jusqu'à devenir une évidence…Je voulais être une de ses modèles un de ses "Sujets" et j'étais prête à tout pour cela.

La suite a dépassé tous mes espoirs. C'est cette aventure que je me décide enfin à raconter ici.

Sur une suggestion de Marc les premiers chapitres de l'histoire de notre rencontre ont tout d'abord été postés sur un forum adulte pour tester leur intérêt. Mes écrits ont été très mal reçus par les administratrices à tel point que j'en ai été censurée. J'ai compris alors qu'il y a des vérités que beaucoup de personnes ne peuvent entendre ou même imaginer. Et qu'à l'impact qu'avaient eu mes modestes récits j'étais sur la bonne voie.

Jusqu'à maintenant je rédigeais sur papier. Il est temps pour moi de passer un cap nécessaire à toute étudiante en lettres, impie aux yeux de certains puristes du papier, je décidais de rédiger un Blog. Et ce Blog Marc a accepté de l'illustrer épisodiquement.

Voici donc confié à vous chères lecteurs et lectrices mon premier carnet, pas très intime il est vrai. Tout mon cœur, ma vie, mes expériences, mes fantasmes et au-delà vous y sont offerts.
Acceptez ce don avec bienveillance.

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