Peu à peu le silence se fait entre nous. Plus nous approchons de l'hôtel moins j'ai envie de parler. C'est la fin de ce séjour hors du temps, hors de ma vie bien rangée de petite fille sage. Un manteau de tristesse commence à peser sur mes épaules. Il va bientôt falloir regagner la foule grise des trottoirs de Paris. Me fondre dans l'anonymat avec au fond de mon cœur, tapie, une braise rougeoyante sur laquelle il n'aura qu'a souffler pour que je me réanime et me jette à ses pieds. Le ciel bleu au-dessus de ma tête qui annonce une belle semaine ne participe vraiment pas a mon spleen, et il n'arrive pas à me réjouir.
Nous ne traversons pas le hall de l'hôtel en courant et en riant comme la dernière fois. Plus je me rapproche de la chambre plus je veux faire demi-tour. Prolonger cette expérience contre toute raison. Une irrépressible envie de le saisir par la manche de revenir sur mes pas, de l'entraîner vers ce bar où ce week-end a débuté et ou tout doit recommencer… Pour l'éternité…
La porte s'est refermée derrière moi. Une boule de chagrin dans la gorge, je fouille machinalement dans mon sac et en sort quelques effets fripés. Cela serra de toute façon plus propre que ce que je porte. Sans un mot, il a ouvert la fenêtre et s'est accoudé à la balustrade de pierre. La vision fugace de nos ébats à cette même fenêtre glisse devant mes yeux. Il s'est mis à contempler la rue, je me suis saisis de mes affaires et me dirige vers la salle d'eau pour noyer mes larmes sous le jet d'eau brûlant.
Je ressors de la douche sans avoir réussi à atténuer mon spleen. Mécaniquement je me suis habillée. J'ai consciencieusement replacé mon fin collier de cuir qui tinte discrètement à chaque mouvement de ma tête et suis sortie de la salle d'eau. Il m'attend assis sur le lit. La fenêtre est refermée. En silence je fais le tour de la chambre et vérifie ne rien avoir oublié. Je suis largement en avance mais maintenant je veux quitter ce lieu chargé d'émotion, sans me retourner. Je m'empare de mon sac au pied du lit et me dirige vers la porte.
- Attend un peu !
Sa voix a claqué dans le silence. C'est pour moi un soulagement que de pouvoir rompre ce mutisme embarrassé.
- Pose ton sac et viens là.
Du doigt il désigne l'espace devant lui. Je m'exécute avec un sourire forcé aux lèvres. Je me place face à lui, les mains dans le dos. J'écarte légèrement les jambes et baisse la tête vers lui. Sans quitter le lit sur lequel il est assis ses mains s'envolent vers mon ventre et déboutonne mon pantalon. Il faut à peine un instant pour qu'il tombe à mes pieds, découvrant mon string noir. Il a un moment de réflexion puis me lance.
- Tu as tes règles ?
- Non, Monsieur !
- Alors pourquoi ce slip ?
- Je … Je croyais que c'était fini pour ce week-end !
- Fini ?
- Oui…Excusez-moi Monsieur !
En fait, je me suis habillée machinalement et j'ai enfilé ce slip sans penser à la première règle qu'il m'a dicté, il y a longtemps maintenant. Et je cherche une excuse pour adoucir son courroux.
Il souffle bruyamment, émet ce claquement de langue caractéristique qui marque sa contrariété et se lève d'un bond.
- Terminé ! Terminé ?… Et tu crois donc que c'est toi qui décide ? Il faut donc que l'on termine ce week-end sur une sanction ?
Une âpre saveur d'adrénaline monte de ma gorge et envahie mon palais lorsqu'il porte les mains à sa ceinture de cuir noir. Lentement il la fait glisser le long de sa taille la libérant des passants et la replie en une boucle dans sa main droite.
- Tourne-toi, penche-toi en avant, appuie-toi sur le mur !
Mon cœur s'emballe un peu plus. Maladroitement, gênée par le pantalon qui entoure mes chevilles. Je me tourne vers le mur aux tapisseries orangées. Je me penche vers l'avant et appuie fermement mes mains sur le mur. Comme un rideau, mes cheveux tombent de part et d'autre de mon visage. Pour tromper mon angoisse je m'absorbe dans la contemplation de mes pieds. Je sais parfaitement à quoi m'expose une telle position et je me pince les lèvres d'appréhension. Ses mains se posent délicatement sur mes hanches et glisse vers mes cuisses entraînant dans son mouvement la fine ceinture de mon string. Ils abaissent doucement mon slip et s'arrêtent à mi-cuisse. C'est étonnant comme cette demi-déculottée peu avoir quelque chose d'humiliant. De sentir ma pudeur à demi dévoilé est très troublant pour moi. Ses mains remontent sur mes fesses et les caresses amoureusement. Un doigt se fraye un passage entre les deux globes ainsi offerts, écarte la délicate fente de mon abricot lisse et s'introduit en moi. Je ne peux m'empêcher d 'émettre un gémissement de plaisir étouffé. Un gémissement qui incite à aller plus loin. Tout en gardant son doigt fureteur en moi il se penche à mon oreille et me murmure.
- Je te rappelle qu'il s'agit d'une punition. Je t'interdis de ressentir le moindre plaisir… Je t'interdis de jouir !
Mon dieu ! Voilà bien une exigence que je vais avoir du mal à tenir. Surtout de la façon dont commence cette "punition". Je serre les dents et essais de faire le vide dans mon esprit. Mais comment faire obéir mon ventre ? Mon intimité se mouillant inexorablement sous la caresse qui se fait plus profonde et qui vient de recevoir le renfort d'un deuxième doigt ? Comment empêcher mon vagin de se dilater impudiquement révélant ainsi son impatience de recevoir son assaut ? Je me concentre sur ma position humiliante essayant de toutes mes forces de faire abstraction des désirs de mon corps. Malgré cela ses doigts ressortent trempés d'entre mes cuisses. Négligemment, il les essuie sur mon dos Et je sens le contact glacial de la ceinture de cuir se poser sur mes reins.
La lanière glisse doucement contre ma peau comme pour se réchauffer à son contact. Je me souviens de la morsure de la cravache sur mes reins lors de notre étrange balade sur les Causses et je ferme les yeux. La ceinture quitte mes fesses, le temps semble s'arrêter, infernale attente ! Je me mords les lèvres. Un sifflement déchire l'air suivi d'un claquement assourdissant. Une traînée de feu s'embrase sur mes reins. La douleur vrillante et soudaine irradie dans tout mon corps et je ne peux me retenir un sursaut et un cri guttural. Ce premier coup est immédiatement suivi d'un deuxième qui laboure le bas de mes fesses. Il me semble encore plus violent que le premier et m'arrache un cri de bête blessée. Un cri interrompu par le troisième coup qui s'abat avec fureur et incendie un autre sillon au bas de mon dos. La ceinture se repose doucement sur mes reins comme pour se reposer de son labeur. Il me laisse reprendre mon souffle les mains crispées contre le mur, les jambes tremblante tendues à se rompre. J'ai l'impression d'avoir été foudroyée sabrée en deux par une lame de feu, je gémis sourdement la bouche ouverte, cherchant à reprendre ma respiration coupée par la douleur fulgurante. Un peu de salive coule de mes lèvres et s'écrase sur le sol et des larmes perlent le long de mes cils. Je suis sure que les coups ont été donnés avec toute la force dont il est capable, provoquant un ébranlement complet de mon corps et de mon esprit. La douleur irradie maintenant sourdement sur tout mon postérieur et le haut de mon dos.
- Voilà pour la punition…
Déclare t il, à voix basse. Le ton calme et posé contraste étonnement avec la violence qu'il vient de me faire subir.
- Maintenant je veux continuer… Pour mon plaisir !
J'ai cru un instant que mon supplice allait cesser.
- Tu veux bien ?
Il a posé la question avec une telle candeur que j'en reste abasourdie. La douleur m'empêche de penser correctement. Mais je m'étonne qu'il me demande mon avis. Alors que je suis à sa main, pliée en deux contre le mur, la culotte baissée, honteusement offerte, ouverte et consentante. Je me rends compte que cette question n'est là que pour appuyer mon humiliation et valider ma soumission. Il me demande mon consentement tout en sachant pertinemment la douleur que j'endure et l'envie pressante que cela finisse vite.
- Tu veux bien... Isabelle ?
L'emploi de mon prénom me révèle son impatience et l'exigence d'une réponse rapide. Je renifle mes larmes et comme dans un rêve, comme si je me dédoublais, je m'entends répondre.
- Oui… Oui, Monsieur !
Ses mains se posent sur mes fesses et les caressent doucement longeant la ceinture posée au creux de mes reins. Il se penche de nouveau à mon oreille et murmure.
- Je vais te faire mal Isabelle... Très mal… Uniquement pour mon plaisir… Tu comprends çà ?
Sa voix me glace le sang. Comme pour se dérober à la souffrance mon esprit s'éloigne de mon corps, marionnette sans force. J'aimerais fuir mais il n'y a pas ici de sortie de secours.
- Oui, Monsieur… Je comprends.
Un silence prolongé, il attend autre chose il attend plus de mon engagement !
- Faites le Monsieur… Je suis à vous… Pour votre plaisir…
Le mot plaisir se noie dans mes sanglots.
Il se relève. La ceinture de cuir quitte mon dos. Dans le silence de la chambre un sifflement. Une douleur fulgurante strie mes reins. J'étouffe un cri venu du plus profond de ma poitrine. Une deuxième brûlure me coupe le souffle et écarquille mes yeux. Un troisième choc me coupe en deux et ouvre ma bouche sur un cri silencieux. Une pause. Je gémis doucement. Ma respiration est précipitée syncopée, je cherche désespérément à contrôler la douleur qui, de mes reins, irradie et pulse à travers mes cuisses et mon dos. Mais il ne me laisse pas le temps de reprendre mes esprits, mon martyr continu. Trois nouvelles fois mes fesses offertes sont parcourues mais des traînées de feu. La douleur est si violente que je me suis laisser basculer de tout mon poids contre le mur et que je me mords le poignet pour ne pas hurler, mon visage est inondé de larme. Jamais je n'aurais cru supporter un tel calvaire. De nombreuse fois la ceinture va s'élever et de nombreuse fois elle va s'abattre sur mes chairs. Par série de trois coups elle va mordre cruellement ma peau fragile. Peu à peu mon esprit s'envole et s'anesthésie sous les coups. Mes cris étouffés et gémissements se sont transformés en râles continus, incoercibles.
Combien de temps a duré mon supplice ? Je ne saurais le dire ! Je reviens à la réalité en comprenant que les coups ont cessé et que ce sont maintenant ses mains qui caressent mes fesses comme le ferais un chef de guerre parcourant le champ de bataille pour se repaître des dégâts infligés. Sur ma croupe brûlante Elles me paraissent fraîches et agréables. Leur douceur me tire peu à peu de ma torpeur douloureuse. Comme par magie les vaques brûlantes s'apaisent et il ne subsiste bientôt plus qu'une onde chaude et agréable qui rayonne jusque dans mon ventre. Les caresses se font plus précises et regagnent mon entrejambes. Je m'aperçois avec stupéfaction que je suis littéralement inondé. Comment mon corps martyrisé a-t-il pu prendre son plaisir ? Profitant de mon détachement et de l'envol de mon esprit, il a composé lâchement avec son tortionnaire. Ce plaisir veule pris comme sous une caresse amoureuse, sans le consentement de ma raison me démontre une fois de plus ma vraie nature. Cette nature que je réfrène sans cesse, que je cache à tous et que Marc a su me révéler. Le motif de mes tourments et de mes fantasmes qui, tel un rocher noir, se découvre à chaque reflux de l'océan de mon âme... A chaque tempête de mon corps !
Ses doigts s'introduisent en moi sans douceurs, dans un réflexe j'essaye d'écarter les jambes, sans y parvenir, prisonnière du pantalon tombé à mes chevilles et le lien de mon slip tendu a mi-cuisses. Délicatement il pose sa ceinture en travers de ma nuque. Les deux bouts de la lanière de cuir pendent maintenant de chaque coté de mon visage comme pour me rappeler ce a quoi je dois mes souffrances. Ses doigts me quittent immédiatement remplacé par un visiteur autrement plus attendu. Il s'est rapidement dégrafé et c'est maintenant son membre arrogant qui frappe à la porte de mon ventre écartant sans vergogne de sa tête d'ivoire poli les lèvres brillantes de ma vulve, s'engageant à demi dans le conduit humide. Doucement, ses deux mains se posent sur mes hanches et d'un coup de rein ferme, d'un seul élan, il me pénètre, s'introduisant sans effort au plus profond de mon ventre. Sous l'assaut je ne peux prévenir un soupir de contentement et de bonheur que j'accentue en cambrant les reins pour lui manifester ma docilité. Plusieurs fois, mécaniquement, sans âme, il va me posséder vigoureusement. Son membre huilé de mon plaisir ressortant entièrement de mon ventre, presque à le quitter, et y replonger violemment se ruant d'un seul mouvement au plus profond de mon vagin, ses mains crispées par l'effort sur ma croupe martyrisée. Par ce rythme étrange il refuse de me communiquer le moindre sentiment. Il me prend comme on prendrait une poupée de chair, sans amour. Il assoie ainsi sa toute puissance et me remet à ma place de simple sujet de plaisir. Comprenant que je ne recevrais aucune caresse, aucune preuve d'affection, je baisse la tête et attend passivement la fin de l'assaut. Malgré son assertion, je sais que c'est la punition qui continue. Je redécouvre une fois de plus le plaisir trouble de n'être qu'un objet. Les coups de boutoirs finissent par m'arracher de petite plainte de chatte énamourée. Et c'est dans un râle rauque de contentement, au plus profond de mon ventre, qu'il va jouir et s'épancher froidement comme pour soulager une envie naturelle. Il me quitte aussitôt pris son plaisir de mâle, sans caresse, sans flatterie dont il est d'habitude coutumier. Je n'ose me relever sans son consentement. Suprême humiliation il essuie son sexe gluant contre mes fesses martyrisé. Je l'entends se réajuster. Il se baisse et s'empare de mon pantalon qu'il remonte lentement le long de mes jambes entraînant dans le même mouvement mon slip toujours baissé a mi-cuisses. Sans se préoccuper de remettre ma culotte, il réajuste mon jean délavé autour de ma taille et d'un même mouvement me tirant par les cheveux me redresse et me fait pivoter face à lui. Il achève de reboutonner mon pantalon. Une fois fait, il me prend le menton dans sa main et pose un baiser délicat sur mes lèvres. Je réponds et lui souris.
- On file à la gare... Tu vas être en retard !
Vous avez déjà couru avec votre slip à demi-baissé à l'intérieur de votre pantalon ? Sur le quai je cherche le numéro de la voiture ou m'attend ma place. Quelle étrange impression, quelle honte de me sentir moite, souillée entre les jambes et les cordons de ce slip volontairement mal réajusté qui tire sur mes cuisses à chaque pas. Et j'ai traversé toute la ville à pieds en trottinant au coté de Marc regardant sans cesse derrière moi passant de temps en temps la main sur mes fesses endolories et entre mes jambes pour m'assurer qu'aucune tâche humide ne transparaît à travers le tissu. Je finis par m'engager dans le couloir qui mène à ma place. J'ai l'impression que tout le monde me regarde et peut deviner mon slip baissé à travers le tissu. Je me sens gourde et maladroite, je perds mes moyens. Lorsque je m'aperçois que la place qui m'est réservé est directement à côté d'un homme plongé dans son journal. Mon sang ne fait qu'un tour. Ce n'est pas possible ! Je ne peux pas m'asseoir là ! Passer une heure à coté de lui. Je sais ou crois deviner l'odeur d'amour que je dois exhaler et qu'il ne manquera pas de percevoir. Je connais l'effet que provoque chez certains hommes mon doux parfum de rousse, et notamment chez mon Maître. Je connais l'excitation que déchaîne cet appel hormonal et j'ai déjà, dès mon adolescence, repoussé des appels pressant d'hommes mure de par ce fait. Mais là, il s'agit d'un parfum qui me signale comme la gamine venant de subir les assauts d'un homme et donc peut être ma disponibilité à un autre ! Je ne me sens pas de force à supporter çà. Je repère une rangée vide et me dirige vers elle, Tant pis pour le contrôleur, le wagon n'est plein qu'au trois-quarts je l'amadouerais d'un sourire.
Je n'ai pas le cœur de sortir mon carnet de notes et commencer à aligner les lignes qui vont vous décrire cet incroyable week-end. Sur la vitre du train les images fugaces de ces trois jours se superposent à la toile de fond des paysages qui défilent à une vitesse infernale. Je sais que chaques lignes va me faire revivre intensément chacune de mes peurs, de mes angoisses, de mes joies et des humiliations consenties. Le trajet n'est pas très long je ne suis plus très loin de la capitale lorsque mon portable se met à sonner. Je fouille fébrilement dans la poche avant de mon sac pour en sortir le tremblant messager. Je jette un œil à l'écran…C'est lui ! Je réponds fébrilement.
- Oui Monsieur !
- Tu es confortablement assise.
Il fait cruellement allusion au feu qui couve sous moi, m'empêche de garder longtemps une position assise et me fait me tortiller sur mon fauteuil. Je jette un œil un œil autour de moi et baisse la voix.
- Oui, Oui... Mais c'est pas facile avec ce slip baissé au fond mon pantalon.
- Vraiment ? …Oui ! ... J'imagine !
Il se moque gentiment de moi. Cela me redonne un peu le sourire.
- Il y a du monde autour de toi ?
- Non trop pas, je suis presque au fond du wagon.
- Très bien… Ouvre ta braguette.
Pour me rassurer, je jette de nouveau un regard autour de moi. La plupart des passagers sont occuper à lire, dorment ou sont plongés dans leurs ordinateurs portables. Il ne me viendrait pas à l'idée de lui désobéir. J'ouvre rapidement les boutons de cuivres, mes doigts froids effleurent la peau chaude de mon bas ventre.
- Caresse-toi !
Sans hésiter, je glisse ma main par l'étroite ouverture mes doigts rencontrent l'humidité intime laissé par son précédent passage et s'enfonce dans le chaud orifice frottant doucement. Je me délecte de la petite vibration qui m'électrise lorsque j'effleure mon clitoris turgescent d'excitation. Je lâche un soupir et un petit gémissement dans le micro pour lui indiquer que j'exécute son ordre et que j'aime çà.
- Très bien Isabelle…Lèche tes doigts maintenant !
Je porte à ma bouche mes doigts luisant. Un goût acide aux odeurs mêlées explose sur ma langue.
- Quel goût as-tu, Isabelle ?
- Je… Le… Le votre… Monsieur !
La communication se coupe immédiatement. Il a raccroché ! C'est ce qu'il voulais m'entendre dire.
D'une main je referme mon portable et appuyant mon front contre la vitre, les yeux perdus dans le vague pour prolonger l'instant je tète amoureusement mes doigts… En attendant le terminus.